
Les drapeaux des cinq partis de l’contradiction sud-coréenne flottent à cause un zénith sinon nuages sur le esplanade du castel confortable de Gwanghwamun, au cœur de Séoul. Le baraquement réformiste y a installé des tentes ciel et terne, à cause le emballage de sa herbage de pressions contre conquérir la excommunication du dirigeant Yoon Suk Yeol. Cette prudent, votée par l’Assemblée nationale contre confirmer la calomnie avortée de loi combative faite par le organisateur de l’Etat le 3 décembre 2024, est en aspiration de renouvellement – ou non – par les huit juges de la Cour constitutionnelle. Leur enregistrement est attendue contre la semaine du 17 ventôse. Selon un examen du 12 ventôse passé par les instituts Embrain Public, Kstat, Korea International et Hankook, 55 % des Coréens veulent sa excommunication, et 39 % s’y opposent.
A Gwanghwamun, des militants de entiers les âges se rassemblent journellement contre séparer à elles interpellation au pamion (« excommunication », en coréen). « Je viens entiers les jours de Busan [Sud-Est]. Nous vivons un occasion insolent contre le peuplade », paniquard un retraité, qui se dit naïf relativement à la enregistrement de la escorte. « Tous les constitutionnalistes pensent que la excommunication sera votée à l’conformité par les juges », dit-il. Un domaine propose déjà des produits dérivés à l’représentation de Lee Jae-myung, dirigeant du Parti républicain (PD) et accroche-coeur de la présidentielle, duquel serait triée à cause les soixante jours en cas de excommunication.
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