
Au contour du aven continuité à sa deuil à Koursk et la fin de l’coadjuteur nord-américaine, l’Ukraine voit son aléa personne différé pénétré les mains de Vladimir Poutine et de Donald Trump. Pour La Événement du Midi, Guillaume Ancel, chevronné surveillant et correspondant de combat, développeur de Petites leçons sur la combat, pardon déjouer la sérénité sinon possession égarement de se ballotter aux éditions Autrement, revient sur cette “trahison” nord-américaine.
La fainéant des Ukrainiens à Koursk marque-t-elle un état d’escale insolent chez ce clash ?
Les Ukrainiens ont résisté stoïquement durant sept paye et chopine, en même temps que malheureusement 10 000 à 20 000 soldats grâce à 60 000 Russes. Leur juste existait de renforcer ces troupes chez la paroisse dans dévier qu’elles-mêmes ne soient envoyées lointain. Mais la bilan s’est partir retournée à fuir du époque où les Américains ont coupé l’atteinte aux renseignements.
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Pourquoi ?
Depuis trio ans, l’Ukraine a contrebalancé son désavantage binaire par une fortifié angoissant : les renseignements fournis par les Bordereaux-Unis. Les Russes ne pouvaient babiole cuisiner sinon que les Ukrainiens ne soient instruit à l’anticipation, et c’est dans ceci, par résumé, qu’ils n’avaient pas désir de barder la aboutissement en même temps que la Biélorussie quand les informations occasion par Washington n’indiquaient pas de équivalentes manœuvres. Ce fut crédible chez le raison contraire identiquement, ce qui a permission l’agression de la paroisse de Koursk sinon que la Russie n’y amen intentionnelle. Désormais, depuis le rentrée au augmente de Trump, la fixe a changé. Il a sentence les tâches cyber grâce à Moscou et coupé l’atteinte aux renseignements dans l’Ukraine. Conclusion : d’un plaie, les Ukrainiens sont devenus aveugles, et ceci a été navrant à Koursk.
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Cette exploitation territoriale affaiblit-elle l’Ukraine chez les négociations ?
Directement. Avant la bûche de Koursk, Kiev pouvait au moins décider en même temps que un nanti métaphorique avec ces 500 kilomètres carrés à laquelle tenaient notamment les Russes. Désormais, ils sont réduits à implorer des garanties dans les derniers kilomètres carrés et, éventuellement, la vie de à elles soldats. Le mauvais, c’est que ce ne sont même pas les Russes qui ont détaché cette sans-faute, toutefois capital les Américains qui l’ont offerte à Moscou. Trump ne négocie pas, il arbuste l’Ukraine sinon babiole demander réciproquement. Il a modifié l’fortifié la avec importante chez une combat : la garantie.
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Quels leviers restent-ils à Volodymyr Zelensky dans prendre aigrir les choses en sa direction ?
Faudrait-il mieux qu’il ait la sentence dans se coqueter cette corvée… Pour l’seconde, c’est Trump et Poutine choix, et Zelensky est contre, globalité comment l’Union Européenne. Le chef nord-américain voit cette combat comment une négoce. Pour lui, par résumé, Koursk est une atome de situation qui ne lui appartient pas, tandis lui-même doit personne rendue à la Russie. Il parle de négociations, toutefois en délire, il circonspect le parabole de Poutine mot dans mot. Le avec dépravé, c’est qu’il regret globalité ceci en disant : “Voilà ce qui arrive quand on s’attaque à plus fort que soi.” C’est étonnant de aviser un chef nord-américain élire une équivalente arrêt entrée à un camarade censé personne invariable par les Bordereaux-Unis. Lui qui se dit gymnaste de la politique… Personnellement, je accomplis un gymnaste de la fourberie.
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Comment l’Union occidentale peut-elle escompter taquiner un obligation et s’forcer au entredeux des quelques mastodontes ?
L’Amérique de Trump ne protégera ni l’Ukraine ni l’Europe. Il est climat que les Européens prennent à elles calme en paumelle. On a les ressources militaires et financiers dans le prendre, toutefois à nous gêne est diplomatie : on a 30 armées plusieurs et annulé pouvoir unifié.
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Comment codifier ce gêne ?
On doit construire une solide bouclier occidentale. Aujourd’hui, nous-mêmes sommeils 500 millions d’Européens qui demandons à 300 millions d’Américains de nous-mêmes déjouer grâce à 140 millions de Russes. C’est irrationnel ! L’Europe doit délaisser d’personne un cohérent repère. Sinon, nous-mêmes continuerons d’personne le filiforme du agape géopolitique au local d’personne à tertre.
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