Le déménagement des médecins agite invariablement le landerneau économie

Il ne se consommé pas une semaine rien que la avancée de médecins à Pont-Saint-Esprit et le pension ne soient l’matière d’embûches de toutes parts. Le juge, Valère Ségal, a décidé de référer au juge de Saint-Julien-de-Peyrolas (qui s’est positif sur les réseaux sociaux), tandis d’une causerie de débordement, mercredi 9 avril en hôtel de ville.

“La venue de médecins, la construction d’un pôle de santé pluridisciplinaire, est la cible d’attaques virulentes et infondées de la part de certaines personnes ayant empêché sa réalisation, entre 2012 et 2024. Ils n’ont rien fait malgré le départ de onze médecins. On ne les a pas entendus lors des départs des médecins pour Goudargues ! Aujourd’hui, ces mêmes personnes viennent donner des leçons et tentent, par tous les moyens de faire de cette opportunité une affaire politique, avec l’aide du maire de Saint-Julien-de-Peyroloas qui n’a pas de mots assez dur depuis des mois et véhicule des contre-vérités à qui veut l’entendre. Les médecins, acteurs du projet sont à l’initiative de leur déménagement pour des raisons évidentes de manque de places.”

“Faut-il que Pont paie pour tout le monde ?”

“Depuis le début, Claude Salau, pris à partie par sa population, a décidé de se victimiser. Il n’a cessé de m’accuser à tort, et dépit de la réalité des faits portés à sa connaissance. Je suis allé à sa rencontre pour lui expliquer le projet, dont celui d’un site satellite sur sa commune. Mais rien n’y fait”, germe Valère Segal. “Ses remarques sur notre non-adhésion au GIP Ma santé, ma région sont une ingérence inacceptable dans notre gestion communale. Il convient de rappeler que chaque commune a la liberté d’adhérer ou non à ce dispositif. Pourquoi ne le fait-il pas ? Faut-il toujours que Pont paie pour tout le monde ? Les choix qui sont les nôtres n’ont pas à être systématiquement dénigrés par le maire d’une commune voisine.”

Enfin, “concernant le courrier que j’ai adressé aux maires sur le dossier du terrain du collège, il s’agissait d’une lettre personnelle afin d’avoir un échange sur ce sujet. Claude Salau a préféré la diffuser dans la presse, sur les réseaux, et la traiter de “confuse”. Ce procédé est indigne…”

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