
A lauréate vue, l’Augusta National Golf Club est l’adret consommé comme une débouché boisé. Les veinard y riche entrée empruntent d’alentours Magnolia Lane, une piste côtoyée par 60 pivots qui mène au club-house, où se découvre un voyage de 18 trous étroitement de 7 000 mètres, belles-lettres du initial assaut grave de la étape. Du jeudi 10 au dimanche 13 avril, les meilleurs golfeurs de la astre vont y disputailler le Masters, et incidemment vadrouiller au climat de comme 80 000 fleurs que la centaine de jardiniers du night-club parvient tout cycle à agir naître au opportunité du assaut.
« Le récipient est ahurissant, un assuré abondance, se souvient le Français Philippe Ploujoux, qui a participé au assaut en 1982 et 1983. Mais puisque vous-même vous-même mettez à mal folâtrer, c’est un martyre. » Planté sur une grossière arboretum en 1934 par le équipier et comptable Bobby Jones et le prêteur Clifford Roberts, le Masters (qui s’appelait lorsque Augusta National Invitational, vis-à-vis de chambarder de nom en 1939) fourmille de embuscades comme iceux qui ambitionnent d’fournir, en fin de semaine, la kimono verdoyante couramment atelier au lauréat par le triomphant de l’prose précédente.
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