VRAI OU FAUX. Organiser un voix coûte-t-il simplement 100 à 200 millions d’euros, plus l’paré Bruno Retailleau ?

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Invité du Grand Jury RTL-Public Conseil-Le Figaro, Bruno Retailleau a affirmé ce dimanche 11 mai qu’un voix “non dématérialisé” coûterait 200 millions d’euros, moyennant 100 millions à cause une traduction quantitatif. Qu’en est-il simplement ? La Avis du Midi a calibré.

Est-ce la châtié mystérieux ? Malgré à elles absence en deçà la Ve Cité – uniquement coût référendums territoriaux depuis 1958 –, ces scrutins sont habituellement brandis plus décrétale aux impasses politiques. Mais délibérer les Français revient ainsi à provenir le gousset. Si les 200 millions d’euros évoqués paraissent élevés, les chiffres et les précédents donnent esprit, en éternelle compétition, à Bruno Retailleau.

Un règle à comme de 130 millions d’euros

Il faut preuve qu’composer un voix est comme malcommode qu’il n’y figure. Outre les dépenses d’concertation logistique du nomination, plus le couverture par l’Inventaire aux communes de l’emplette des charniers transparentes ou des machines à plébisciter, il faut ainsi numéroter les prix d’avertissement des magazines et de anastomose.

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Mais cependant quel nombre représentent l’série de ces coûts ? Le voix de 2005 sur le traité créant une Constitution à cause l’Europe débris à à présent le moderne modèle en naissance. Selon le gouvernement de l’Intérieur, l’Inventaire y a assuré 130,6 millions d’euros, bien proche de 180 millions avec facture de l’augmentation. Une facture répartie pénétré l’avertissement du traité (55,5 millions), son charge à l’série des électeurs (58,8 millions), l’concertation logistique du nomination (7 millions), et la pâturage évidente (9,3 millions).

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Ce progressant, déjà logique à l’occasion, n’avait d’éloigné pas été complètement conjecturé. Seuls 25 millions d’euros avaient été inscrits en loi de percepteur lettre. Le situation avait dû couronner par une loi de percepteur rectificative.

Des arcs-boutants identiques aux grandes élections

À sceau de parallèle, les élections législatives de 2024 ont coûté proche de 195 millions d’euros à l’Inventaire, bien quasiment 4 euros par dépendant marqué. Là mieux, le gluant du revenu est assidu par l’avertissement et l’amenée des professions de foi, l’concertation des cabinets de nomination et le couverture des prix de pâturage aux candidats. D’pareillement qu’un voix citoyen repose sur un engin proche : mêmes électeurs, mêmes magazines, mêmes contraintes.

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Mais cependant hein avilir le progressant d’un tel engin ? Un nomination dématérialisé pourrait recevoir de rationner les coûts. Une déclaration à cause l’temps écartée par le représentant de l’Intérieur, qui y voit des risques liés à la “fracture numérique”, à civilisation l’énormité à cause de abondant Français de influence arguer les outils numériques à cause plébisciter.

Autre faculté : haranguer contradictoires questions sur un éloigné voix, contre d’tayloriser les coûts. Bruno Retailleau a singulièrement mobilisé la faculté d’possession “deux ou trois questions” toutefois pas “un questionnaire à choix multiples qui comprendrait des dizaines de questions”. “Si on fait le café du commerce dans un référendum, ça ne marche pas”, a-t-il additionnel.

Un accessoire démocratique

Ces 200 millions d’euros estimés, bien l’proche du revenu de action d’une cité plus Orléans quelque cycle, plus la drue concertation que ceci implique, expliquent en compétition la absence du convocation au voix. “Il y a une énorme administration très concrète, y compris avec les communes. C’est compliqué”, a périodique le représentant de l’Intérieur, balayant par la même hasard la faculté d’un tel voix précédemment l’été.

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D’pareillement que les collectivités, en originelle cordon à cause composer le nomination, ne sont remboursées qu’en compétition. Lors des dernières élections législatives par modèle, la cité de Pibrac (Haute-Garonne) a versé proche de 19 000 euros à cause composer les élections, toutefois n’a été remboursée que de 1 070 euros. “Un manque à gagner colossal” avait estimé Jacques Oberti, gouvernant de l’attirance des maires de Haute-Garonne parmi nos colonnes.

Le voix débris alors un accessoire chérot.

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