Cyclisme : Le Tarnais Nathan Vandepitte immunisé la Bingoal

l’fondamental
Non conservé par la Bingoal-WB (Pro Team), le Tarnais ne devrait comme devenir entre les rangs professionnels en 2025.

Après la oisif de Lilian Calmejane, le Tarn devrait gangrener un méconnaissable de ses représentants entre les pelotons professionnels en la personnalité de Nathan Vandepitte. Le sprinteur de 24 ans a occasionnellement enseigné qu’il ne serait pas conservé par la Bingoal-WB (ProTeam), l’doté belge alors auquel il incarnait passé pro en 2023. “Officiellement, j’ai su ça le 10 octobre. Je n’étais pas trop fixé sur cette date car, préalablement, on avait un accord pour continuer une année de plus. Ce qui m’embête, c’est qu’il n’y a pas de réelle raison derrière ça. On m’a dit que c’était compliqué, des raisons financières”, raconte alors colère le pistard qui a fondé le cyclisme à Saint-Juéry.

“Chez les pros, il n’y a plus de place”

Suite à cette augure inattendue, Vandepitte s’est inéluctablement activé pile augurer en obligation un bilan de décadence. Mais il incarnait déjà très tard. “J’ai de suite contacté des équipes Continentales françaises. Il y avait peut-être une possibilité chez Van Rysel-Roubaix. Mais le jour où j’ai appelé, ils m’ont dit qu’ils venaient de clôturer l’effectif. Chez les pros, il n’y a plus de place”, emphatique le Tarnais lequel l’rejetons n’est pas aussi fixé à 100 %.

“J’ai beaucoup réfléchi, glisse l’Occitan. Est-ce que je continue à faire du vélo ? Est-ce que je tourne la page et je pars travailler ? A priori, j’aimerais quand même continuer en amateur. J’ai eu quelques contacts avec des équipes avec des propositions intéressantes qui me permettraient de faire du vélo au plus haut niveau national. Ce sera avec l’objectif de performer un maximum”. Et par conséquent pas enflammer comme les professionnels. “Si une nouvelle chance s’offre à moi, je l’aborderai différemment. Je me suis un peu perdu chez les pros. Je n’étais plus le coureur que j’ai été toute ma vie. Le niveau est tellement élevé que je n’étais plus au départ pour gagner des courses”, regrette celui-ci qui est commencé à section de l’Enfer du Nord la siècle dernière.

“C’est peut-être ma plus grande fierté de mes deux années chez les pros : avoir fini Paris-Roubaix dans les délais, souligne Vandepitte. Ça paraît bête de dire ça mais ce n’est pas donné à beaucoup de monde. C’est la course qui me faisait rêver. Ça fait partie des points que je retiendrai toute ma vie.”

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