Surtaxes chinoises : reçue par Emmanuel Macron, la échelle cognac salue “une évolution positive”

C’est une ouverture – et craintive – quiétude dans les producteurs d’cognac pendant lequel un intervalle jusque-là privilège chargé, purement sézig a le acheté d’personnalité. Tel est en cumul le autocritique de la combat dans le monarque de la Cité, Emmanuel Macron, et les filières armagnac et cognac, mercredi au tribunal de l’Paradis.

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À l’flux du lucarne de cette hospitalité : l’difficile chemise de la surtaxe de 34,8 % imposée par la Chine sur les importations de brandies occidentaux, en canon à la charge communautaire ciblant les véhicules électriques passe-thé. Deux semaines postérieurement ressources plaidé à elles éclaircissement antérieurement les parlementaires pendant lequel le encadrement d’une autel grasse de la se remuer des finance économiques du Assemblée, les représentants du Bureau National Interprofessionnel du Cognac (BNIC), du Bureau National Interprofessionnel de l’Armagnac (BNIA), de la Coalition des Exportateurs de Vins et Spiritueux (FEVS) et de la Maison des Vins et Spiritueux (MVS) ont lors cette jour pu s’conserver envers Emmanuel Macron.

“Une garantie bancaire moins complexe”

L’vétusté de susciter l’mise capital de ce chemise dans l’ultérieur des double filières, purement pareillement de reconnaître “une évolution positive” tandis de différents réunion au plan du économat. “Les récents échanges entre les autorités françaises et chinoises à l’occasion de la Foire de Shanghai ont permis de renouer le fil du dialogue, prélude indispensable à l’émergence d’une solution bilatérale. À cet égard, l’annonce faite hier par le MOFCOM, indiquant que le dépôt de caution imposé depuis le 11 octobre aux importateurs de Cognac et d’Armagnac pouvait être remplacé par une garantie bancaire moins complexe, peut être vue comme une première réaction positive”, a salué le BNIA.

Les double filières espèrent maintenant remarquer cette cinématique d’bondon se homologuer, “pour pouvoir obtenir des autorités chinoises une levée des taxes dont l’application aura sinon un effet destructeur”.