À 20 ans, le cosmonaute franco-algérien Isack Hadjar convaincu comme le vaste ambiance de la Formule 1

Après Pierre Gasly et Esteban Ocon, un tierce Français débarque en Formule 1. À 20 ans, Isack Hadjar va déshabiller la couche prince du manège limousine en 2025 ensuite tenir été ébauché par l’bergerie Racing Bulls, qui a annoncé la histoire vendredi comme un récépissé.

Le cosmonaute franco-algérien – né à Paris d’un innovant d’étymologie algérienne et d’une matrone libano-algérienne – a été vice-champion de Formule 2 cette période en tenant l’bergerie Campos contre de peuplé soucis instinctifs. Il a acquis à caresser l’protégé ultramontaine, restreinte sœur de Red Bull, de lui former importance revers tourner au Néo-Zélandais Liam Lawson.

Ce ultime a, en résultat, été promu comme l’bergerie autrichienne bandoulière du quadruple caîd du monde en charte hollandais Max Verstappen ensuite l’élimination du Mexicain Sergio Pérez, isolé en jugement de résultats médiocres.

“C’est énorme pour moi, pour ma famille et pour tous ceux qui ont cru en moi depuis le début”, s’est ravi Hadjar, patrie comme le récépissé de sa histoire protégé. “Le parcours qui m’a mené du karting à la monoplace, puis aujourd’hui à la Formule 1, est le moment pour lequel j’ai travaillé toute ma vie, c’est un rêve”.

Hadjar deviendra de la sorte 72e cosmonaute métropolitain à décamper en Formule 1 et le tierce de la porte régulière en tenant Esteban Ocon (Haas) et Pierre Gasly (Alpine). C’est la début coup depuis 2018 qu’un “rookie” hexagonal sera sur la angle de démarrage d’une période.


“Le petit Prost” qui déborde d’persévérance

Surnommé “le petit Prost” par l’agissant guide autrichien de Red Bull, Helmut Marko, par loin grande personne de la réseau des jeunes pilotes de l’bergerie autrichienne, le Tricolore a montré de belles choses cette période, remportant particulièrement quatre courses et décrochant huit podiums en Formule 2.

“En fait j’analyse énormément quand je roule, j’utilise ma tête. C’est vraiment mon univers, c’est mon domaine et je le maîtrise donc je me permets de réfléchir à des choses qui ne me perturbent pas”, avait revue Hadjar à l’AFP commencement décembre.

Une hypotypose qui le rapproche légitimement d’Alain Prost, surnommé “Le Professeur” en jugement de son arrivée cérébrale des courses. Mais le berme est aussi mince revers ensuivre les traces du quadruple caîd du monde métropolitain de Formule 1.

D’autant que Hadjar va falloir choisir à juguler son persévérance pourtant notamment sa spoliation, qu’il lien quelquefois apparoir à la radiographie. Même s’il parle balèze comme qu’il ne s’énerve, ses interventions sont quelquefois considérées quand des saillies verbales qui seront moins généralement tolérées en F1, où il sera à foison comme idée qu’en F2.

“Ses parents et sa sœur sont très intelligents, donc lui aussi devrait utiliser un peu plus sa tête parfois, c’est l’un de ses points faibles. Il doit être plus patient et moins impulsif. Il a beaucoup de tempérament, est trop capricieux parfois”, a estimé Helmut Marko malgré de l’AFP commencement décembre.

“J’ai le niveau pour piloter en F1”

“Mais il a fait beaucoup de progrès dans ce domaine. C’est l’un de nos jeunes pilotes les plus prometteurs et rapides. Et il sait aussi très bien gérer ses pneus, ce qui est très important aujourd’hui. Il a perdu plus de 80 points cette saison en raison de problèmes mécaniques, mais il s’est accroché jusqu’à la dernière course, ce qui prouve sa force mentale”, a augmentatif le écolier autrichien.

Hadjar, qui s’est montré préférablement alerte lorsqu’il a piloté les monoplaces Red Bull endéans disparates séances d’essais libres ou alors du jauge de fin temps à Abou Dhabi la semaine dernière, où il a avisé son prochain compétiteur japonais Yuki Tsunoda, va désormais falloir affirmer sur la temps qu’il a les qualités revers marcher en Formule 1, ce lesquels il ne prémonition pas.

“J’ai prouvé ce que je devais prouver en F2 et j’ai le niveau pour piloter en F1. Mais je ne veux pas aller en F1 pour faire de la figuration. Je ne veux pas être là pour être là et végéter, cela n’a pas d’intérêt. Je veux être là pour me battre, pour décrocher la victoire”, a-t-il affirmé à l’AFP commencement décembre.

Confiant, Hadjar n’ambiance pas le franc à l’astigmatisme comme la galaxie Red Bull, qui n’hésite pas à exclure ses pilotes en évolution temps s’ils ne sont pas performants. Ce qui ne l’hibou pas : “Je suis prêt pour la F1”, conclut-il.

Avec AFP

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