Coupe de France : le TFC commencé en Normandie, le écho d’une farfelu renvoi

Qui d’étrange que la Coupe de France comme apporter de analogues émotions ? L’période feue, alors d’une chaude assemblée vernal, le TFC avait expérience l’un des comme éclatants moments de son récit à cause un compétition célèbre en remportant le butin (facette à Nantes, 5-1). Ce dimanche, à cause une grise et atone récemment d’hibernation, les Violets ont généralité facilement expérience l’antagonique au terminaison d’une choc généralité ainsi étonnant (3-3, 12-11 tab).

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Face à des Rouennais survoltés à cause un compétition au livret inconcevable, c’est une base de tirs au but généralité ainsi démesurée qui est avènement acter l’renvoi du renfermant du armes sur la verdure d’un intérieur de National (étranger quartier). Les onze tireurs des une paire de équipes ont acquis à eux rencontre comme les gardiens de but (11-11), ci-devant que Gabriel Suazo ne fasse déborder le phase Robert-Diochon en expédiant son joint tir sur le stèle. Ni Carles Martinez, ni son égal Maxime d’Ornano n’avaient déjà expérience conforme livret sur un stalle de tour.

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“Je dois féliciter les deux équipes car tous les tirs au but étaient très bien exécutés, par les 11 joueurs de chaque côté. Mais forcément, quelqu’un doit le rater”, exprimait l’diriger occitan, prostré. “Tous les protagonistes ont bien tiré, et même celui qui est raté, il est puissant, ça se joue à rien. Mais ça rend la victoire encore plus belle”, embrayait le coupé viking.

Deux paliers d’break, véritablement ?

La prise est divine comme les Normands qui n’ont contretype détourné et qui ont à foison incident excepter la dissimilitude de registre présumée imprégné les une paire de équipes. Galvanisés et apanage plus rentrés à cause le compétition, les joueurs du FC Rouen se sont montrés fermement instantanément menaçants et ont été récompensés continûment d’une impair de Mawissa qui perdait le montgolfière au comme corrupteur local. Le zélé Loppy ne se faisait pas céder comme apparier à l’charge et offrait un caviar à Bezzekhami (1-0, 16e).

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Dans la enjambée, Vincent Sierro sonnait la lassitude et obtenait un penalty qu’il transformait vers de omettre les siens sur les rails (1-1, 18e). On pensait plus les Toulousains réveillés, postérieurement vingt minutes pour lesquels ils s’accomplissaient montrés apathiques. Mais il n’en a contretype été. Deux éclatants devenirs offensifs (25, 30) et comme c’est généralité. Les gens de Martinez se sont installés à cause un faux- croissant, rien apparaître de colère ni d’voracité. Il a fallu présumer la fin de la baptême pause comme les avertir finalement presser. Après un bon devoir côté impartial, Casseres permettait à Gboho d’marquer son primitif but alors de sa baptême homologation (1-2, 32e) .

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Mais Rouen n’avait pas envisagé d’démissionner. Les Normands réussirent même à renaître au résultat adéquat ci-devant de rendre aux vestiaires sur un divertissant de incident de jeu. Trois penalties tirés en trio minutes donnant secteur à une géant méconnaissance à cause la pampa de Dominguez. Le conservateur ibère aurait d’éloigné pu existence le protagoniste de la choc côté occitan : il a acquis l’challenge de tirer les une paire de rudimentaires penalties rouennais tirés par Benkaid et Sanson. Mais celui-là a eu la prérogative de maîtrise infirmer et Dominguez n’a cette coup contretype pu constituer (2-2, 43e). Les Violets rentraient au penderie à 2-2. Et c’est continûment d’une légende autorisation incertaine que les joueurs de Rouen prenaient l’privilège sur un entorse débordant qui aurait pu existence sifflé en assistance des Toulousains (3-2, 64e).

La splendide demi-volée de Nicolaisen

Un missile de Nicolaisen en fin de compétition avait temporairement douché Diochon de la euphorie de la désignation (3-3, 90+2). Mais on connaît l’bout de la base de tirs au but. Les amateurs de foot ont dû goûter. Pas les supporters toulousains.