Euro 2024 de balle à la main : “Je suis passé par des hauts et des bas”, l’amollissant louange d’Elohim Prandi pendant les vestiaires

Sa vaisseau spatial à douze mètres a expédié les handballeurs hexagonal en suite façade à la Suède, rouvrant la originaire de la conclusion de l’Euro: Elohim Prandi a troussé sa chemin contrariée en bleui d’un but d’portion vendredi. Retrouvez le louange du “Bison” pendant les vestiaires subséquemment le partie.

Menés 27-26, il restait moins d’une moment aux Bleus comme rester pendant cet Euro, sinon l’attardé rustre du PSG a brisé d’un beigne démonstratif surpuissant la gouverne, les embuscade et les espoirs suédois d’un tir surpuissant.

Dans les vestiaires, à l’leçon de la heurt, l’passé Nîmois a été ovationné par ses coéquipiers face à de procéder la réflexion.

?? Elohim Prandi supposé en HÉROS pendant le penderie des Bleus subséquemment son tir intégralement fou façade à la Suède !
?️ “On est frères d’armes, j’espère qu’on va gagner cette année”#HandAction #FRASUE
? Images : Renan Chedotal pic.twitter.com/JsD7KUeCaF

— beIN SPORTS (@beinsports_FR) January 27, 2024

“C’est un truc de ouf pour moi. Je sais que je suis passé par des hauts et des bas, par des déceptions et des plus belles choses, s’est exprimé, la voix pleine d’émotions, Elohim Prandi. C’est mon rôle…et aussi la confiance que vous me donnez dans la capacité à pouvoir faire ce genre de choses. C’est incroyable, je pense que c’est un tout. On est tous des champions, on est tous des joueurs incroyables, c’est un dénouement mais on est une équipe, on est frères d’armes et j’espère qu’on va gagner cette année.”

Karabatic chargé de réputation envers “Elo”

“J’avais Kentin (Mahé) et Val’ (Porte) à côté de moi et je leur disais que j’étais sûr qu’Elo allait le mettre. Je leur ai répété “Pensez architecte, il va le poser, il va le poser”, assurait pourtant Nikola Karabatic, à propos de son coéquipier du PSG comptant 36 sélections en bleu, à l’issue de la demi-finale.

Moins sollicité dans cet Euro au poste d’arrière gauche que “Kara”, bientôt âgé de 40 ans, le “Bison” (son patronyme) n’existait même pas des JO de Tokyo. Arrivé en méforme comme la exécution, il avait été laissé latéralement par Guillaume Gille.

Moins de six mensualité puis tard, un opéra l’avait intime d’Euro: une marque à l’outil cireuse donc du médianoche du Nouvel an. Deux ans puis tard, voici qu’envers ce déplacement un peu légendaire, ombre déterré d’un jeu vidéodisque, il originaire l’gréé de France donc d’une demi-finale communautaire. 

Comments are closed.