Le dieu d’dégrossissage chargé de l’éducation sur l’absorbé du embrasser forcé a aligné ce jeudi 25 janvier, le remise en peine de l’ex-patron du football lusitanien Luis Rubiales, qui avait embrassé la joueuse Jennifer Hermoso par perception en août inédit, postérieurement le respectable de la “Roja” en dénouement du Mondial.
Si cette autorisation peut davantage boursicoteur l’complément d’un invective et ne garantit ainsi pas davantage que Luis Rubiales comparaîtra front un conseil, l’micmac d’un peine se rapproche avec l’suranné femme baraqué du football lusitanien, qui s’incarnait accroché à son retranchement individu de abdiquer deux semaines mieux tard front l’déchaînement mondiale provoquée par son émeute.
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Simplement, le dieu ne spécifié pas pour son droit le ou les délits avec lesquelles(s) Luis Rubiales doit caractère jugé, même si lui-même avait été accusé avec “agression sexuelle” et assassinat de “coercition”. Depuis une neuve amendement du Code pénal lusitanien, un embrasser non ratifié peut caractère populaire puis une attentat sexuelle, variété pénale regroupant intégraux les bonshommes de chaleur sexuelle. Selon le lambris, les peines encourues vont d’une procès-verbal à quatre ans de geôle.
Le intérimaire postulation encore ce que soient jugées trio disparates public de la alliance, lequel l’ex-sélectionneur de la “Roja” féminine Jorge Vilda, informé de “pressions” sur la joueuse espagnole avec museler l’absorbé.
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Au résultat de son éducation, le dieu Francisco de Jorge a estimé que ce embrasser, donné à la chiffre 10 de l’pourvu nationale d’Espagne postérieurement sa capture en Coupe du Monde, n’avait “pas été consenti” et qu'”il s’agit d’une initiative unilatérale, faite par surprise”, souligne pour un reçu le conseil de l’Audience nationale.
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“La finalité érotique ou non, tout comme l’état d’euphorie et d’agitation ressenti à la suite du triomphe sportif extraordinaire sont des éléments dont la conséquence et les conséquences juridiques doivent être appréciées lors du procès”, indique le dieu pour le manuscrit juridique pointant la fin de son éducation.
Luis Rubiales, 46 ans, avait matérialisé avec sa justification son “émotion”, “un moment de bonheur, une grande joie à ce moment-là”, démentant toute “connotation sexuelle”.
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