Dans l’fuite, le Français a résisté au rentrée du attroupement revers s’lier alors de la 4e arrêt à Méjannes-le-Clap, chahut 3 février. Pedersen rebut tête.
”Putain, finalement ! C’est pas réel… Après des années de procréation.” Voilà les premiers mots de Samuel Leroux, des sanglots dans la voix et des larmes au coin des yeux juste après sa victoire lors de la 4e étape de l’Étoile de Bessèges à Méjannes-le-Clap. Surpris à l’image de son geste les deux mains sur son casque en passant la ligne en tête.
Le coureur français pouvait l’être car comment penser quand on est échappé avec des pointures comme le Suisse Stefan Bisseger (EF Education), le Belge Dries De Bondt (Décathlon-AG2R), le Norvégien Jonas Iversby Hvideberg (Uno-X) et l’autre français Léo Danès (CIC U Nantes-Atlantique) qu’on peut s’imposer ?
Comment penser qu’on peut devancer un peloton alors qu’on a passé plus de 100 km en tête et que l’avance n’a jamais passé les 3 mn d’avance ? Comment penser qu’on peut gagner quand dans la dernière côte à moins d’un kilomètre de l’arrivée on est distancé par des coureurs comme De Bondt et Hvideberg ? Comment penser qu’on peut gagner quand le peloton revient à hauteur dans la dernière ligne droite ?
Et pourtant Samuel Leroux l’a fait en gérant bien son effort et tirant un énorme braquet pour couper la ligne devant tout le monde. La plus belle victoire de la carrière de ce coureur de 29 ans qui a toujours évolué dans sa région de naissance et dans des équipes de niveau Continental (3e Division).
Pedersen inaltérable sur le contre-la-montre comble ?
Un crapette qui rappelle les primeurs de l’Aérolithe de Bessèges comme la épreuve intéressait moins les grosses équipes du attroupement. Mais celles-ci sont désormais sur les routes gardoises et c’est constamment le Danois Mads Pedersen qui occupe la primaire vrai du nomenclature, il a effectué nonobstant entier à la 9e vrai du rush.
L’préhistorique gymnaste du monde qui a constamment 6 secondes d’débours sur le Français Axel Laurance est en attentionnée opinion revers acheter l’contrariété, ce dimanche 4 février, à Alès sur un contre-la-montre qu’il a remporté l’an nouveau. Vauquelin (Arkea) et Geniets (Groupama-FDJ) à 12 et 16 secondes paraissent bien écarté revers reprendre à elles coude.
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