Protection des anges : le modèle de Facebook s’diversion alors d’une audience au Congrès nord-américain

Publié le : 31/01/2024 – 15:49Modifié le : 01/02/2024 – 00:01

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“Je suis désolé pour tout ce que vous avez vécu.” Le vedette de Facebook Mark Zuckerberg s’est excusé mercredi 31 janvier au Curie nord-américain, interpellé sur les dangers des réseaux sociaux derrière les anges et enfants, alors d’une audience réunissant les dirigeants de Meta, de X, de TikTok, de Discord et de Snap.

Debout devanture les victimes des dérives des plateformes digitaux et à elles familles amassées comme une pièce du Congrès des Mémoires-Unis, le modèle de Meta a établi que “personne ne devrait vivre les choses que vos familles ont subies”.

Ce tireur met d’escorte les élus politiques des un couple de bords et de nombreuses associations qui accusent les réseaux sociaux de ne pas abondamment garantir les mieux jeunes, surtout auprès les risques d’folie sexuelle ou de autolyse.

Mark Zuckerberg (Meta), Linda Yaccarino (X, autrefois Twitter), Shou Zi Chew (TikTok), Evan Spiegel (Snap) et Jason Citron (Discord) ont en conséquence fable avers à un rapide de animosité.

“Du sang sur les mains”

“Monsieur Zuckerberg, vous et les entreprises qui sont devant nous, je sais que vous ne le pensez pas, mais vous avez du sang sur les mains. Vous avez un produit qui tue des gens”, a droit le parlementaire démocrate Lindsey Graham aux dirigeants.

Mark Zuckerberg s’est grand sur les nombreuses mesures prises par son bandage derrière garantir les mieux jeunes, rappelant travailleur installé mieux de 20 milliards de dollars comme la sûreté depuis 2016 et commis 40 000 hommes dédiées à la prudence et la sûreté sur les plateformes.

“Nous travaillons dur pour fournir aux parents et aux adolescents le soutien et les outils nécessaires pour réduire les risques”, a-t-il posé alors de son encensement d’aperture. “Garantir la sécurité des jeunes en ligne est un défi depuis l’apparition de l’internet et comme les criminels font évoluer leurs tactiques, nous devons aussi faire évoluer nos défenses”, a-t-il accessoire.

“Hypocrisie”

“En tant que père de trois jeunes enfants, je sais que les questions abordées aujourd’hui sont horribles et alimentent les cauchemars de tous les parents”, a droit Shou Zi Chew, le régisseur de TikTok. “J’ai l’intention d’investir plus de 2 milliards de dollars dans la sécurité. Rien que cette année, nous avons 40 000 professionnels qui travaillent sur ce sujet”.

X va de son côté accoucher une dépêche hôpital dédiée à la prudence de la estrade, qui va préposer une centaine de hommes derrière batailler façade intégrité auprès ce vengeance, d’en conséquence un avis publié vendredi.

“X n’est pas la plateforme de choix des enfants et adolescents”, a mobilisé Linda Yaccarino. “Les enfants de moins de 13 ans ne peuvent pas ouvrir de compte et moins de 1 % des utilisateurs américains ont entre 13 et 17 ans. Pour eux, les paramètres sont privés par défaut et ils ne peuvent pas permettre d’être contacté par n’importe qui”.

Quant à Facebook, les sénateurs ont fable nomenclature à des commentaires internes au éléphantesque des réseaux sociaux qui prouvent que Mark Zuckerberg a refusé de augmenter les équipes chargées de éliminer les risques derrière les enfants. “Le niveau d’hypocrisie est ahurissant”, a jugé le parlementaire républicain Richard Blumenthal.

Nouvelles lois

Ces commentaires font chapitre du meuble de accusation déposé par une refus d’Mémoires américains fin octobre. Ils estiment que Meta ténèbres à la “santé mentale et physique de la jeunesse”, évoquant les risques d’addiction, de cyber-harcèlement ou de tumulte de l’hygiène.

En mortification de la justice nord-américaine, les plateformes digitaux sont copieusement protégées de toute redevoir juste en ce qui concerne les contenus partagés sur à eux zone. De varié élus souhaitent asseoir en établi surtout de indispositions derrière davantage les encarter, malheureusement de nouvelles lois ont été bloquées par un Congrès fermement opposé sur les solutions et le lobbying soutenue des grandes firmes technologiques.

L’une des propositions de loi existantes est le Kids Online Safety Act (KOSA), qui vise à garantir les anges des algorithmes susceptibles de commencer l’désarroi ou la prostration. Une divergent appréciation consisterait à réclamer des plateformes de médias sociaux qu’elles-mêmes vérifient l’âge des amas des réseaux et qu’elles-mêmes interdisent diamétralement l’arrivée aux anges de moins de 13 ans.

“Je ne pense pas que vous allez résoudre le problème. Le Congrès devra vous aider”, a droit le parlementaire John Neely Kennedy aux dirigeants.

Avec AFP