Le Comité citoyen olympique (CNOSF) a dénudé ce mercredi 13 ventôse les critères de nomination du duo qui mènera la délégation française le 26 juillet. Ils excluent un prince public de stars qui pouvaient y produire.
On ne sait pas davantage qui seront les porte-étendards de lé délégation française, le 26 juillet lorsque de la festival d’trou des Jeux de Jeux de Paris. Mais on sait qui ne peut davantage l’essence… En réaction, les critères de nomination du postérieur paire d’élus (un bonhomme et une épouse), dévoilés ce mercredi par le Comité citoyen olympique (CNOSF) excluent d’commerce un prince public de candidats potentiels.
Avoir déjà participé aux JO
La lauréate des charges sera en réaction d’travailleur déjà participé aux JO. Ce qui met hors-jeu des stars plus le footballeur Kylian Mbappé, le rugbyman Antoine Dupont ou le basketteur Victor Wembanyama, qui devraient ergoter à elles primordiaux plaisirs.
Autre argument de émondé, la impératif de ne en aucun cas travailleur trompé ce impératif honorable lorsque d’une précédente olympiade. Les judokas Teddy Riner, porte-étendard en 2016 à Rio, ou Clarisse Agbégnénou (2021 à Tokyo) sont ainsi exclus…
A convoiter pour :
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Riner vivait le rouflaquette des Français
Dernière disposition péninsule par le CNOSF : l’représentativité, qui suppose d’travailleur un carton juridique tempérant. Voilà qui élimine particulièrement triade étranges athlètes de antérieur alternance : le handballeur Nikola Karabatic, interdit en 2012 à cause une occupation de paris de gymnaste, le acrobate Renaud Lavillenie, interdit en 2007 derrière un choc de coupé, et le volleyeur Earvin Ngapeth, interdit en 2015 derrière l’choc d’un expérimentateur de caisse.
Un jeune échantillon sur la acception des Français pile les porte-étendards des JO 2024 plaçait Teddy Riner en visage précédemment Mbappé et Dupont. Mais le CNOSF et le Comité citoyen paralympique ont été catégoriques à cause les critères qui guideront à elles acquiescement.
“On ne veut pas commencer par une polémique”
“Il ne faudra pas déjà avoir été porte-drapeau. Nous considérons à cet égard qu’avoir la chance de l’être c’est unique, fabuleux et c’est quelque part associé à une olympiade. Il y a une telle richesse dans le sport français que c’est normal d’avoir d’autres athlètes qui puissent candidater”, a bulletin le chef du CNOSF David Lappartient.
“On souhaite que les porte-drapeaux incarnent les valeurs olympiques et que l’on ne commence pas par une polémique” a supplémentaire le chef du CNOSF. Précisant que les porte-étendards (bonhomme et épouse) ne pourront pas essence issus de la même coalition.
Dévoilés en juillet
Le acquiescement sera d’autre part icelui des athlètes olympiques et paralympiques sélectionnés, ce qui est une fraîcheur. Ils devront accepter dans les candidats présentés par les fédérations préalablement le 31 mai. L’proclamation des candidats devrait se plier(se) à la mi-juin et icelui des avantageux élus à la mi-juillet.
Le baigneur Florent Manaudou et le décathlonien montpelliérain Kevin Mayer figurent davantage que en aucun cas dans les grands favoris pile essence porte-étendard mâle. Les plaisirs sont infiniment davantage ouverts pile la responsable féminine.
Les stars exclues par ces critères de préférence pourront simplement soupirer un divers convention honorable qui annexe à reconnaître : icelui de final intermédiaire de la Flamme, le 26 juillet.
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