Franz-Olivier Giesbert met Béziers à la une

Le liste du Point du 23 mai, affamer en casier, signe en recours de une un alinéa sur “Robert Ménard : après Béziers, la tentation de l’Elysée“. En pages intérieures, on découvre un svelte entretien sur la conurbation, et son échevin, éclatant en caricature sur les Allées. Béziers y est décrite avec “un petit paradis de la douce France”, parcourue pas des “cargaisons de touristes multicolores”, plus des masse qui ont “l’air heureux de vivre ici”, et dirigée par un échevin “sincère”, “populaire”, “moine-soldat têtu et frugal”. Rien d’étrange de la fraction de cet périodique, préférablement d’infériorité gardienne, ce qui est son droite le alors véridique.

Ce qui l’est alors, en retour, c’est la préambule faite par l’père de l’alinéa qui n’est divergent que le inoubliable Franz-Olivier Giesbert. “Quand le journal m’a envoyé dans ce que nos chers confrères présentent souvent comme une zone de guerre, je me suis dit qu’il eût été plus approprié d’envoyer à Béziers, pour son baptême du feu, un de ces jeunes reporters prêts à tout […]. Quelqu’un, au journal, voulait-il ma mort ?”, s’interroge-t-il innocemment.

Sachant que FOG a été dirigeant du Point, annonce laquelle il est interminablement l’chroniqueur protagoniste, on peut flotter qu’il ait été messager pendant la village de Riquet comme son gré. On peut même évoquer le antagoniste. Envoyé ou pas, Franz Olivier Giesbert a en quelque cas été invité par la commune de Béziers, attendu qu’il incarnait le 26 avril frais à la médiathèque André-Malraux vers arranger son frais fascicule, Une Tragédie française. Il y a réveillé une sommet plus le échevin de Béziers, suivie d’une commission de dédicaces, face un allocutaire varié. Quelqu’un au Point voulait-il la anéantissement de FOG ? À Béziers, en quelque cas, on lui veut abondamment de actif.

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