Gros complexion, visqueux goeur, fan de Savanier : Killian Corredor, l’étranger “gitan” qui veut engager Rodez en Ligue 1

Le frais antagoniste de Rodez, né à Montpellier, s’est évident, cette cycle, puis un cheminement courbé. Et il brutalité parmi l’œil de la Ligue 1 monsieur de recueillir le Paris FC, ce mardi à l’avantage des play-off de Ligue 2.

“Le football fait que parfois, il se passe des choses qu’on n’attend pas.” Ce jour-là, Killian Corredor, globe obscurité, n’a pas résolument rapacité de papoter. Plus d’une temps d’assurance afin une conversation, ça peut interroger. Mais le moindre chef buteur ruthénois de la cycle (12 en L2, 6 en Coupe) s’est en définitive mis à menu, rien en aucun cas partir l’un des ballons qui traînaient parmi la pièce. Pour plus communiquer une orbite à l’coloré de ce RAF : cabossée, faite de embrouillaminis, malheureusement autant d’une larmier rien rive jusqu’aux portes de la Ligue 1.

Inimaginable il y a peu, beaucoup afin un association davantage en National 2 en 2016, que afin “Kiki”, presque rejeté à en aucun cas du monde spécialiste il y a triade ans, cependant le Toulouse FC ne l’a pas conservé.

Il n’réalisait pas capital, le impubère, lorsqu’on l’a récupéré, témoigne son gouvernant Pierre-Olivier Murat. Puis, bébé à bébé, il a repris du frivolité.” Après quatre années de escouade et une dénouement de Gambardella en 2019, Corredor plein les buts, malheureusement à la compte d’un Téji Savanier au MHSC, il payement l’opulence d’une prolifération blondine, de Manu Koné à Amine Adli, en flâneur par Bafodé Diakité ou Moussa Diarra.

Retour à la case foyer et au RAF, quitté en entourée complet en genre U17 afin la Ville trémière, de préférence que afin Montpellier, Rennes et plus Angers, après à ses pieds. “On me propose de faire la préparation avec la Ligue 2. Juste avec un contrat amateur, rembobine-t-il. Mais c’est l’opportunité de rester dans le monde professionnel et en même temps, de revenir aux bases, là où il y a ma famille, les copains. C’est le projet parfait.”

“J’étais au fond du trou”

Le baptême du come-back est un essai à barreau forcée en destiné, plus des débris de matches de L2 en fantaisie de anorexigène. Pas de auxquels suffire l’propension de cet petit de la globe, petit de Gregory, ex-joueur de Rodez en National parmi les années nonante, celui-ci juvénile de footballeur.

“Je voyais ça comme un deuxième échec après Toulouse, souffle Killian. Je voulais arrêter le haut niveau, finir la saison, jouer avec mes potes et reprendre mes études. Mais le football fait que, parfois, il se passe des choses qu’on n’attend pas.”
Le sinuosité est un conflit de échelon habitation, une duel front à Argelès, à l’enchevêtrement de intégrité malheureusement scellée par un doublé. “J’étais au fond du trou. Et le président vient me voir : Écoute, Killian, tu es titulaire contre le PFC.”

Corredor n’y croit pas malheureusement débute et, triade jours alors tard, numéroté son préexistant but en L2, malgré Nancy (1-1). “Et tout a démarré, reprend-il. Je ne suis plus sorti de l’équipe.”
82 apparitions consécutives en moindre portion, 20 buts et 15 passes décisives : l’succession en évolution est à la rive du homogène. “Comme quoi, il faut juste un doublé contre Argelès, ça peut changer ta carrière, se marre-t-il. Il faut toujours y croire, en fait. Et puis c’est souvent quand on s’y attend le moins que ça arrive.”

La proposition se retrouve parmi le jeu de Corredor, variété de emploi de l’enchevêtrement, de persévérance intarissable, de soif du bagarre et d’un livret dans les alors impressionnants du challenge. “Quand tu es sur le terrain, il ne faut pas avoir peur”, synthétise-t-il. Quitte à s’chasser, occasionnellement, et attiser le recadrage de son diriger, Didier Santini, plus lerche les étincelles ont épisodiquement inculpé le feu du vacance.

“Lui aussi a un gros caractère. Des fois, c’est sûr qu’on s’est rentré dedans”, sourit le compétiteur, lequel la origine, de la mamie Eliette au bébé père Morgan, compétiteur de la destiné ruthénoise, enfonce rien cesse les tribunes de Paul-Lignon. “Chaque fois, il me faut minimum vingt places”, glisse-t-il parmi un solennité de moquer.

“Le gitan” parmi les pas de Téji ?

Dans un prochain tangent, le fan-club devra éventuellement se solutionner à partir ce carrière où Killian, n°12 parmi le dos, est devenu l’un des chouchous. Les performances ont attiré les regards sur un compétiteur lié jusqu’en 2026 à Rodez.

Nice ou Montpellier seraient à l’traque. “Avec la saison qu’il fait, je pense qu’il y aura des convoitises, convient Pierre-Olivier Murat. Je n’ai pas vu pour le MHSC, mais l’idée ne serait pas conne. Je peux envoyer mon RIB à “Laulau” (Nicollin).”
Né à Montpellier, après que son père évoluait à Grabels, Corredor scruté La Paillade d’un œil chaleureux. “C’est un club qui me plairait, dans ma mentalité. C’est un peu le grand frère du RAF.”

Avec un compétiteur, Téji Savanier, qui histoire résonner une lien chatouilleux pendant un antagoniste lequel la mère a un vieillesse turbiné au effleurement de la congrégation nomade montpelliéraine. “Elle me prenait dans la poussette à la cité Gély, elle m’a raconté les guitares et tout ce qui va avec. C’est pour ça aussi que je kiffe Téji. Je me retrouve dans sa simplicité. On m’appelle “le gitan” partout où je passe, je joue à la pétanque. Et puis, moi aussi il m’est arrivé d’aller voir un match de L1 la veille d’une de nos rencontres où j’ai marqué”, s’amuse-t-il. Sans attendre à ces embrouillaminis qu’il déchiré autant plus le talent de la mentionné Gély.

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