Nîmes Olympique : les Crocos faciès aux Lionceaux moyennant brailler de bonheur

Il y a un traitement, Nîmes Olympique changeait d’diriger. Une spécification que le commandant ludique Sébastien Larcier a obtention un peu singulier. Et qui a pu abasourdir étant donné que finissant tard dans lequel la durée. On ne saura oncques si les Crocodiles se seraient maintenus bruissement Frédéric Bompard.

Ce que l’on sait, c’est qu’ils vont se protéger bruissement Adil Hermach. On n’imagine pas les Nîmois, bruissement six points d’arrhes à double journées de la fin sur Villefranche et Avranches, appartenir relégués à la fin de ce abominable compétition à six descentes.

Adil Hermach : “Je n’aime pas compter sur les autres. Je n’ai pas été élevé comme ça”

Même si le nouveau diriger de NO se méfie, forcément. Quand on lui dit qu’il a désormais 99 % de chances de survivre en National, Adil Hermach répond : “Oui, mais le 1 % me fait peur ! Tant que ce n’est pas fait mathématiquement, il y a toujours une crainte. J’ai vu tellement de dingueries dans le football… à commencer avec Lens, quand j’étais joueur. On est descendus en Ligue 2 en 2011 alors que l’on avait une grosse équipe (Runje, Varane, Seydou Keita, Maoulida, etc.) et que l’on visait l’Europe. On a de l’avance, je préfère être dans notre situation que dans celle d’autres équipes, mais je n’aime pas compter sur les autres. Je n’ai pas été élevé comme ça. À nous d’emballer tout ça, et de faire que ce match soit une fête.”

En fruit, le presse nîmois, une semaine préalablement la feria, semble capital propension de arroser, quand la meilleure rassemblement de la durée (3 362 officiel moyennant la gain 1-0 quelque le sportif, le Red Star, le 29 avril) sera affût. On pourrait même rejoindre le prouesse des Antonins, 5 527 faciès à Saint-Etienne en février 2023 (1-2).

Le coupé, éternellement : “Nos supporters, ils sont dans mon plan de jeu”

Tout le monde est compilation à brailler de bonheur faciès à des Lionceaux qui n’ont surtout bagatelle à frémir ni à patienter. Et à mettre en marche poupe des Crocos que l’on a propension d’estimer à jeune, Rani Assaf ou pas Rani Assaf.

Ils restent sur triade faveur consécutifs. Et à eux coupé avare déjà le berge dévoré : “Oui, c’est un peu inespéré d’en être là, reconnaît Hermach. Je pensais que le maintien allait se jouer à Martigues à la dernière minute de la dernière journée… Quand j’ai pris l’équipe, il restait six matches, il fallait en gagner trois ou quatre pour se sauver. Et quand j’avais regardé le calendrier, je m’étais dit : “Où je vais ?” Mais tout le monde, Seb Larcier, le staff, plein de personnes au club, ma famille, m’ont aidé et encouragé. En fait, on m’a donné envie d’y croire !”

Maintenant, “ce n’est pas le moment de se relâcher. Je crains le contrecoup. Je compte sur l’appui du public pour nous apporter de la fraîcheur mentale, assure le jeune entraîneur de 37 ans. Nos supporters, ils sont dans mon plan de jeu !” Alors, c’est invisible : cha la la la la la la, allez Nîmois !