Rodez. L’périple de la bannière comme Christian Cabantous

l’ingrédient
La état de Rodez et la Cami s’unissent afin courser ce intermédiaire de la bannière qui incarne l’intellection olympique.

Il me suite d’y abonder”, confie Christian Cabantous, karatéka 7e dan, cheville ouvrière de l’association “Cami interprétation et reproduction”, et depuis janvier, retenu par le comité olympique pour porter la flamme. “C’est une classe afin l’Aveyron, il représente les énergies de la bannière à flanc son course athlète, son choc afin la caractère et le fédératif. Il incarne l’frayeur olympique”, déclare, avant le départ, Chantal Hurtes, présidente de la Cami, qui accompagne ce mercredi, dès potron-minet, à moto, Christian Cabantous pour immortaliser l’événement. Car la ville de Rodez par le biais d’Olivier Nicolas, adjoint au sport, a bien saisi le caractère unique de cet événement. “C’est une suffisant harmonieuse fortuit intergénérationnelle, universelle, et sportive. On vit un occurrence spécifique, faisons-le approvisionnement à flanc un registre de digue qui permettra de exprimer ce randonnée aux scolaires et aux immémoriaux en Ehpad.”

Derrière la symbolique olympique, il y a la volonté commune de faire œuvre de transmission. “C’est un vaste protection”, dit Jean-Paul Atzori, président du Handi sport, accompagné de Camille Roussel, qui souligne “l’transmutation consentant sur le dysmorphie où le vis-à-vis a changé. Cette médiatisation est l’possibilité de subsister en ce entendement”.

Un court-métrage afin expédier

Stéphane Sichi, animateur du logis audiovisuel La Nauze, a surtout apprêté une caméra embarquée sur la motocyclette du paire, afin approvisionnement au lunette le lunette l’événement et recevoir sa remboursement au vaste évident. Un court-métrage permettra, in cassis, “de donner un témoignage de fraternité, de paix et de liberté”, résume Christian Cabantous. Et de caractère quand le rappelle Chantal Hurtes : “On connaît tous quelqu’un touché par le cancer dans la famille. C’est une raison d’être d’y participer.”

Ce mercredi, Chantal et Christian partent du étable afin charger à Toulon en réunion, en attendant le vaste lunette, le 14 mai, afin marcher la bannière à L’Île-Rousse sur 200 mètres. “Je suis fier aujourd’hui car on rêve toujours quand on est sportif de porter un jour la flamme olympique. J’ai les poils qui se hérissent. Je suis fier également de mettre à l’honneur tous les handicaps et je suis fier enfin de représenter le karaté qui n’a été aux Jeux olympiques que dix minutes. J’espère qu’un jour ce sport soit olympique. Plus qu’un sport, c’est un art martial qui inclut le respect.” Ce vénération qui absence aussi. Par-delà le interprétation, cette héroïsme et le essence constant motivent ces acteurs au-dessous la cocarde de la complicité des anneaux olympiques.

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