Didier Codorniou, juge de paix et solliciteur à la gouvernement de la FFR : “Gruissan, c’est mon âme”

Didier Codorniou n’est pas du variété à conduire les choses à milieu et sinon il s’engage, dit-il, c’est à croupe. Ainsi, le 19 octobre, s’il venait à essence élu administrateur de la Association française de rugby (FFR), ce serait “à 100 %”.

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Vendredi à la municipalité de Gruissan, Didier Codorniou, antérieur bailli de la arrondissement depuis 2001, a renfermé à rasséréner la gens. S’il a récépissé de nombreuses marques de pilier contrecoup à sa sollicitation, il a en conséquence rencontré de abondant Gruissanais inquiets. “M. le maire, que va-t-il se passer si vous devenez président de la Fédération française de rugby ? Allez-vous arrêter votre engagement à la mairie après votre mandat ?”

“Je ne suis pas fatigué, je suis en pleine forme”

S’il n’a pas intégralement répondu à la section, “cela viendra avec le temps”, dit-il. “Codor” s’est conscient tranquillisant : “Gruissan, c’est mon âme. Mes fondamentaux sont ici. J’explique donc aux Gruissanais inquiets que c’est déjà ce que je fais depuis plus de 20 ans avec mon rôle de premier vice-président de Région, de président du Parlement de la mer, du Parc naturel régional et en tant que maire de Gruissan. J’assume totalement toutes ces fonctions avec honneur. Mon engagement est total avec une motivation sans faille, beaucoup de force. Je ne suis pas fatigué, je suis en pleine forme”.

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Cependant, il le sait extrêmement diligent, si le “petit prince” est élu administrateur de la FFR le 19 octobre, son attribution du climat prendra de l’grandeur et, à ce moment-là, il y ambiance des “choix à faire”. Il rejet en expliquant entreprenant, alentour de lui, “une équipe extrêmement soudée, expérimentée, qui connaît tous les dossiers avec une grande maîtrise des grands projets structurants de la ville comme l’éco quartier ou faire de Gruissan une station sans voiture”.

“Ce sera une élection difficile, mais je reste optimiste”

Une objet est efficace, à absenter du salaire de septembre et jusqu’à mi-octobre, O.K. là-dedans le terminal reprise de la opération à la FFR, “le rugby me prendra 100 % de mon temps alors qu’actuellement, c’est pratiquement la moitié. J’ai anticipé tout cela, prévient-il. Le samedi 19 octobre ou je suis élu ou je rentre dans l’opposition. Les retours que j’ai me font penser que ce sera une élection difficile, mais je reste optimiste”.