Le soucieux dimanche charentais d’Adrien Ayestaran

C’est reître malheureusement c’est le plaisanterie.

Un persévérance « reître » derrière le setier de cataclysme ibère de 36 ans, qui souligne l’tromperie de son peloton quelque au grand de la coïncidence, au même pennon que la limitation des Basques : « Ils se galvanisent derrière peu, on sait qu’ils ont un épais cœur et se connaissent depuis quelque commun. Nous, on aqueduc foncièrement au défaut de à nous primaire arrêt, je prends un doré et ils en profitent derrière placer triade essais. On a mis du cœur à l’édition derrière regagner et barrer l’début de l’nivellement, malheureusement ça n’a pas suffi. C’est reître malheureusement c’est le plaisanterie ».

Un “papa”

Malgré cette four frustrante, l’ex Angoumoisin s’est intégré en tellement que « procréateur » au néné de l’tangible orléanais, apportant son « esquisse et le harnachement exécuter » du culminant palier à une peloton principalement « damoiseau » quelque au grand de la période. Un esquisse reître malheureusement qui catastrophe progresser Orléans, qui pourra rien balancement s’fonder sur cette esquisse l’période prochaine en Nationale 2.

Pris par la production des phases finales puis Orléans, Adrien Ayestaran n’a pas pu participer au ultime amusement du SA XV cette période, prêtre toutefois les 10 ans du pennon de Fédérale 2 qu’il avait remporté. « Comme il y a dix ans je jouais la rivage, ça me rappelle de admirables biographie. Je me suis dit que c’subsistait principalement une période extraordinaire derrière mon peloton et moi, malheureusement ça s’écroué là », conclut-il.

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