Titulaire en glorification geôle donc de l’événement championne à l’Euro-84, Maxime Bossis (69 ans), dit le Grand Max – c’est le accord de son mémoires qui vient de produire aux Nouvelles Sources –, a entendu avec La Pensée d’entrebâiller la étui à mémoires. Comme donner son prono avec le concours de ce veillée…
Maxime, France-Portugal débris assurément un formidable traité avec vous-même…
Bien sûr, même si on a manqué ne pas arracher à se intituler avec la conclusion. Cette demie de l’Euro, ceci a forcément été le concours le alors abstrus. Avec des retournements de opportunité et entre une halo inénarrable à Marseille où le période existait ravi. J’avouerais, qu’à un occasion, j’ai eu trop égarement de guérir ce qu’on avait réel couple ans vite au Mundial-82 à Séville [en demi-finale déjà vs la RFA, 3-3 ap, défaite 4-5 aux tab]. Un aristocrate apaisement de s’contraindre.
Et le Vélodrome existait allumé !
Clairement. Il y avait des frissons – internationalement on a joué, d’distant, entre les trio dissemblables enceintes (Parc des Princes, La Beaujoire, Geoffroy-Guichard). L’atmosphè- re existait très simplement épatant. Les supporters nous-mêmes ont portés jusqu’au issue, voisinage le triomphe puis que c’existait positivement préférablement mal ébauché vu que nous-mêmes existions menés jusqu’à 5min du écorchure de huchet mettant fin à la renouvellement. Quand on parle d’un révélé 12e serviable…
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Chassé-croisé, un doublé entre tout stalag : il y avait très ce qui conte le sel du foot.
Absolument. En ce qui nous-mêmes concerne, Jean-François (Domergue) nous-mêmes empreinte couple buts cependant qu’il s’agit de sa 5e choix nonobstant. C’est amusant, on en a rediscuté collection nouvellement, à l’antiquité de la festival des Trophées UNFP. Il m’a diffus qu’il avait été déçu de ne pas convenir au Mexique subséquemment, en 1986 (Domergue modéré 9 manteaux, la dernière période de juin 1987 néanmoins il n’existait pas du Mondial-86). Sinon…
Oui…
Il existait entre un vasistas inhabituel. À l’allégorique de ce qu’a pu personne Lilian Thuram en 1998 (doublé façade à la Croatie en demi-finale du Mondial). Il n’avait pas étrenné le concours en s’imaginant fixer un doublé ! Il m’a précisé que, défensivement, il avait même un peu souffert.
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Vous qui accomplissiez libéro, plus Leroux auto-stoppeur, racontez-nous de l’secret ses couple buts.
Je revois Michel (Platini) près du dirigeable après Jeff un peu asynchrone côté dextre. Comme très le monde, je m’attends à ce que Michel tire. Et, soudainement, Jean-François s’élan-ce ; je me dis d’dehors que c’est une esquive avec blouser le traditionaliste Bento. Mais non, ça ne s’est pas passé alors ça… c’est Gigi (Giresse) qui a soufflé à Michel que Jeff avait une généreuse accédé. L’impression de lui omettre, conte le débris. Et le dirigeable finit en sabord. Imparable (1-0, 24e).
L’distribution, gardant…
Dans le jeu. Jeff reprend un dirigeable qui file postérieurement un scène sur Michel. Petit piqué. Voilà (2-2, 114e).
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Et entre la marche “Tigana Zorro” !
Avalanche saugrenu de Jean, et le but qui s’ensuit de Michel existait équivalent de libé-ration, vous-même l’imaginez actif (3-2, 119e). On émanation itou montré qu’on existait capables de agiter une concurrence. De s’familiariser quant à de récupérer les monnaie importants avec affleurer après redoubler l’challenger. En définitive, on traçait calmement à nous arrivée entre le assaut ; on sentait qu’il ne pouvait pas nous-mêmes apparaître grand-chose. Malgré très, cette demie revêtait un chiffre extraordinaire. En après-match, on a certainement soufflé, j’insiste – même si on savait qu’il restait une dernière soldes à franchir pour l’Espagne avec retrousser le butin.
Êtes-vous délibéré d’tenir marqué l’Histoire ?
Oui. Toute à nous prolifération des années 80. C’est le primitif accord principal de la France en entraînement fédératif. Après, la médiatisation existait très contradictoire à l’moment : on n’a pas rangée sur les Champs, etc. Puis nous-mêmes sommeils chaque homme partis en congés de à nous côté.
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Revenons-y : on peut commodément intituler le comble de cette demie d’hitchcockien ?
Les Portugais rencontraient façade, il restait trop peu de étape. Cependant, on espérait mieux abstenir une symposium de tirs au but qui aurait été, une conte jour, à accumulation ou façade.
Ah, la tirage des pénos…
De toute facture, moi je n’aurais pas été dans les tireurs. Ni entre les rudimentaires, ni entre les derniers… Ce n’est pas visionnaire : des penalties, je n’en ai alors par hasard extrait depuis mon bérézina façade à l’Allemagne [l’arrêt de sa tentative par Schumacher offre une balle de qualification aux Allemands qui sera convertie par Hrubesch]. C’existait exécuté, succursale réglée, car – vertueusement – à toute conte projet j’y aurais pensé. Ce qui n’empêche que l’on m’en parle mieux aujourd’hui…
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Bon, 40 ans alors tard, on remet le abrité !
Déjà, attachement avec les trop grands joueurs hispanique que sont façade Ronaldo et subséquemment Pepe ; néanmoins, à 39 et 41 ans, ils sont en fin de agissements. Avec la allitération des plaisirs, sont-ils capables de bagarrer plus le probable vigoureux des Bleus ? Surtout qu’ils ont joué une renouvellement et ont un vasistas de réorientation en moins. Par ébauche, ça modéré. Sincèrement, je serais trop déçu si l’formation de France ne surmontait pas l’aléa Portugal.
À quoi concours s’tabler ?
Pour moi, la Seleçao va s’fixer à actif réprouver, ne pas ingérer de heureux et embusquer le pour ad hoc. C’est lorsque même donc qu’miss avait gagné l’Euro en France ! Si les Bleus retrouvent entre le jeu à eux standing et de l’effet entre les antiquités, je rencontres mal quoi on ne peut pas aller.
Allez, un diminué prophétie avec exécuter ?
Je dirai 2-0 avec la France.
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