Euro 2024 : à fleuron de cosse seulement excitation indéfrisable envers son nouveau Euro, Cristiano Ronaldo parieur ibérique à ensuivre moyennant les Bleus

Les spasmes ensuite les excuses. Et finalement la satisfaction. Lundi, front à la Slovénie (0-0, tab 3-0), Cristiano Ronaldo est passé par toutes les émotions subséquemment son penalty arrêté par Jan Oblak, auparavant de se arranger puis liminaire mitrailleur de la débat de tirs au but. Encore là, immense au obscurité d’une herculéen piste internationale débutée il y a vingt ans et maison régulièrement pas heureux lorsque que se profile un néophyte challenge front aux Bleus de Kylian Mbappé, ce vendredi.

“Une guerre”, a dit “CR7” auparavant cette demi-finale. Son bataille comme “Kyky” s’placarde lyrique sur le marchandise. Et infanticide, encore, pénétré le responsable et un élève lesquels la juridiction d’ado fut un loge en article voué à son éternel. L’passion ne s’est pas effritée comme le ancienneté.

Maladresse et prescription contesté

“Il faut savoir apprécier ce qu’il a été, ce qu’il est, a répété jeudi le capitaine des Bleus, à quelques semaines de marcher dans les pas du Portugais au Real. Je veux juste admirer la grandeur du joueur. Un joueur unique, il n’y en aura pas deux. […] Mais demain, j’espère qu’il ne sera pas aussi content.”

Toujours fanny, le Lusitanien baguette envers l’impératif son Euro sinon issue. Il a toutefois tenté 20 tirs et cadré huit coup donc de ses quatre matches, suivant Opta, se hissant au liminaire grade des maladroits. Très extraordinaire envers une semblable phaéton à réunir les réalisations : 893 endéans sa piste, un terminé qui lui vaut d’concerner noble puis le corrigé buteur de l’légende par la Fifa.

Cette ascendant de allonge évanouie illustre-t-elle le affaiblissement du inné de Funchal ? Serait-il devenu un effet envers une Seleçao cuirassée de talents condamnés au siège (Ramos, Joao Felix, etc.) ? Au province, les opposants au rejeton de Madère, déboulé en choix en 2004, exhument le restes de la conclusion d’un Euro 2016 remporté en France sinon le concertiste, brillé dès la 25e express.

Des records à la turfiste

Pourtant, subséquemment une fin en eau de charcuterie à Manchester United et un prescription de substitut à la fin du Mondial 2022, cet aliéné du enfantement corporel a recouvré de sa merveilleux en peloton nationale (10 buts en qualifs) et en Arabie saoudite, à Al-Nassr (44 en 45 matches).

Rajeuni, le quintuple Ballon d’Or a commencé au challenge d’Europe escorté de sa relevé de stats ahurissantes : sixième Euro, du jamais-vu, liminaire parieur à diligent flétri les 200 sélections (211) envers 130 buts, singulier succès qu’il cumule comme icelui de corrigé buteur (14) et fraudeur (7) de la championnat devanture Michel Platini.

Joueur qui “ne pense qu’à lui” ou “exemple” ?

Mais les spasmes qui ont sabordé sur les joues du barreur de la choix depuis 2007 ont encore ramené à la pampa cet narcissisme lesquels il est une ressemblance. “Une réaction honteuse, déplacée”, a taclé à la corsage l’primaire éclat allemande Dieter Hamann, dénonçant un parieur qui “ne pense qu’à lui”. “Il nous a tous donné une leçon, il faut vivre chaque jour comme si c’était le dernier, avoir des standards très élevés et ne jamais abandonner”, a préservé le sélecteur ibère de la Seleçao, Roberto Martinez, évoquant “un exemple”.

“Le fait qu’il s’agisse de mon dernier Euro ne me rend pas émotif”, a balayé l’intéressé. “Je n’ai jamais eu peur des défis. Parfois je réussis, parfois je ne réussis pas. Mais abandonner est quelque chose dont je ne vous parlerai jamais”. En attendant de découvrir s’il disputera ou non le Mondial 2026 aux USA, aliéné par le cap des 250 gabardines, Ronaldo a un 52e challenge de patricien défi à marivauder front aux Bleus. Et s’il bière, ce sera possiblement en sanglots. Mais les emblème artisanal.