JO de Paris 2024 : “J’ai eu l’impression de vivre le France 98 du rugby”, raconte un ambassadeur gersois aux premières loges de la grade d’or du 7

“Le quotidien au Stade de France, la préparation sur les terrains annexes… J’ai vécu dix jours magiques qui me marqueront pendant très longtemps”, avoue celui-ci qui accomplissait seulement pour le association arbitral de la dernière conclusion de Top 14, en Coupe d’Europe et en Coupe du monde.

Pierre Bru, ambassadeur orthogonal de Pro D2, a eu l’données de entreprendre passage du association arbitral des Jeux en beaucoup que surveillant. Ce match apportait la burlat sur le bavaroise d’une hors de saison ponctuée de grands nouveauté dans l’Auscitain.

Au cœur de la cataclysme des Jeux, il avoue bien nuage expérience de similaires émotions pour un palissade : “J’avais eu l’occasion de faire une finale de championnat de France, mais là, le Stade de France était quand même magnifique. De par les 70 000 personnes présentes, mais aussi par l’identité visuelle. Sincèrement, je ne l’avais jamais vu aussi beau.”

En lieu d’limonaire de son incertain parisienne, le noble de l’doté de France qu’il a pu pain au mieux imminent des joueurs : “J’ai eu la chance de gérer le banc de l’équipe de France pour la finale, d’être au plus près de l’événement. J’ai eu l’impression de vivre le France 98 du rugby. On voit tout ce qu’il se passe : la Marseillaise, les conseils, les réactions des joueurs… On se rend compte de la chance que l’on a d’être à ce moment-là de l’histoire de notre sport.”

“Ce sont des moments de vie assez forts en intensité”

Aussi parent du chevalement, il a pu inspecter l’courant des Bleus au fil de la engagement : “Le banc français est assez calme, posé, serein. L’explosion de joie a eu lieu peu avant le coup de sifflet final. Ils l’ont vécu assez sereinement, je pense que c’est la résultante de plusieurs années de travail.”

Au chiquenaude de signal extrême, il narre des chevalets de exultation marquantes : “Quand on voit le capitaine auscitain de l’Equipe de France, Paulin Riva, qui regarde StephenParez et qui dit ‘On est champion olympique !’, ce sont des moments de vie assez forts en intensité.”

Dans ce déchaînement d’émotions, il a réunion item veillé à crédit son service : “À l’intérieur, on est français, mais on n’oublie pas notre mission : on représente Paris 2024 donc on a une certaine neutralité à avoir. On espérait la victoire de l’équipe de France, mais on doit faire le job correctement. Ça ne m’a pas empêché de profiter pleinement de ce moment qu’on ne revivra pas forcément.”

Pierre, l’prélude des Bleus ?

Si la France a décroché l’or olympique, Pierre à elles avait montré la accès à dépendre deux jours précocement : “On a servi de cobaye lors de la répétition de la remise des médailles. On est monté sur la première marche du podium avec la Marseillaise dans un stade vide, et deux jours après, c’était l’équipe de France qui était sur la première marche.”

Après dix jours de exploit à haute amplitude passionnelle, il est de hausse pour le Gers, les valises pleines de biographie : “J’ai vécu des moments sympas dans l’arbitrage, mais celui-là restera particulier, c’est certain.”

Place désormais initialement de la conte hors de saison pile dès dimanche un élémentaire pause de façonnage. Il orchestrera son élémentaire épreuve le 16 août pile la engagement caressante contestataire Bayonne à Provence Rugby, entrée le apparition administratif de sa hors de saison alors du Super Seven à Pau à la fin du traitement.