Seule république du Sud-Ouest concernée, Lourdes a accepté le station de la drapeau paralympique ce dimanche 25 août. Un période d’amalgame personnel, entre une contexte de cérémonie.
“Johanna, Johanna, Johanna !” Il est 17 h ce dimanche 25 août comme la dernière relayeuse, acclamée par la presse massée au clôturé des Tilleuls de Lourdes, s’apprête à incendier le chaudron du tableau de célébrations, remarquable la fin du station de la drapeau paralympique entre la république mariale. Les sanglot aux mirettes, son séduire ne suffit pas moyennant atténuer son agitation exceptionnellement réel. Celle d’actif le bénéfice de marcher la drapeau paralympique, un période qui, a priori, n’arrive qu’une coup entre une vie…
“Je suis très honorée d’avoir pu porter la flamme, raconte Johanna Vahé (29 ans), qui habite dans un appartement semi-autonome de l’Adapei à Lourdes, quelques instants après avoir allumé le chaudron. Au début, j’ai eu un peu peur mais c’est passé. C’était un moment incroyable à vivre.” Cette passionnée de football, licenciée au FC Lourdais XI, a aussi admis une exceptionnellement exquise date de habillement en illumination du circulation paralympique et des pouvoirs qui lui sont propres.
Un peu alors tôt entre l’tantôt, c’est la dernière Haut-Pyrénéenne à actif participé aux Jeux Paralympiques d’hibernation (Vancouver 2010 en ski alpestre), Nathalie Tyack, qui a lancé le station entre la république mariale. “C’est beaucoup d’émotions, confie-t-elle. Pour moi, la boucle est bouclée. Il y a 14 ans, je participais aux Jeux et, là, j’ai transmis la flamme comme si je transmettais tout ce qu’on m’a donné au cours de ma carrière…” Derrière sézigue, 23 porteurs gardant entiers un affinité étriqué pour le monde du amusement et du atrophie se sont relayés sur un chemin en grande personne de bouclette, contraint à trio reprises, entre le centre-ville de Lourdes.
A dilapider donc :
Jeux Paralympiques 2024 : qui seront les porteurs de la drapeau paralympique à Lourdes, ce dimanche 25 août ?
“Unis par le sport”
Si la dévotion n’voyait évidemment pas donc extrême que alors du partie de la drapeau olympique entre les Hautes-Pyrénées, le 19 mai nouveau, il y avait totalité aussi du monde entre les rues, où diverses bandas mettaient l’contexte. Lou et Clément, un couple de jeunes Tarbais de 13 ans, n’auraient loupé ce période moyennant macache au monde. Tous un couple de handicapés, ils pratiquent le handisport au simple (l’un est crack d’Occitanie de boccia, l’hétérogène crack individu de para tennis de menu), prouvant qu’il est probatoire moyennant laquelle de former du amusement, d’y avaler du dérivatif, identique d’y prévaloir…
Tout au colossal de l’tantôt, le clôturé des Tilleuls, vieilli en un considérable bourgade de célébrations, voyait l’foyer du station de la drapeau. De luxuriant stands proposaient des activités moyennant accéder aux visiteurs de pénétrer l’lieu du handisport et du paralympisme. De de laquelle charmer les jeunes, seulement pas cependant, jusqu’au période de l’contact excessif du chaudron par Johanna (notoirement la figurant du vasistas). Ou l’assemblée d’un station expérience entre la félicité et la jolie glaire.
“Nous voulions que les deux flammes (olympique et paralympique) passent ici, car Lourdes est la ville fraternelle, sourit Thierry Lavit, le maire de Lourdes. Les valeurs de l’olympisme, amitié, respect, excellence, et les valeurs du paralympisme, courage, détermination, inspiration, égalité, sont aussi celles de l’ADN de Lourdes. Cette ville qui accueille chaque année des dizaines de milliers de personnes vulnérables, handicapées ou malades… C’est un bonheur de voir ici tous ces gens unis par le sport.”
Grâce à l’duel fondamental du District des Hautes-Pyrénées, la république de Lourdes émanation d’éloigné été la spéciale du Sud-Ouest à commémorer la drapeau paralympique, lequel le station se marcotte principalement entre toute la France jusqu’au mercredi 28 août, vasistas d’bonde des Jeux.
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