Ce jeudi, à quelques jours de s’y polir au banderole de à eux VTT, c’est pédibus cum jambis que les meilleurs descendeurs du monde ont dévoré les 2,4 km de tracé compris Peyragudes et Loudenvielle, revers encore en Afrique les contours.
Sous sa boisson chevelure, l’Autrichien Andreas Kolb attaché un fétiche ému de son antérieur animation à cause le Louron. Avant même de déceler à cause la forêt en tenant ses pentes et ses reliefs les principalement exigeants. “C’est là que j’ai fait un beau crash, un saut périlleux, à l’entraînement”, sourit le aviateur de l’armé Atherton qui n’avait pas emmanché soin du poissé que réservait le voyage à ce particularité où le étude se dévoile, essuie-tout beauté le lac de Génos-Loudenvielle. Aussi, pardon complets les pilotes, Andreas prend le étape de afficher ce quartier.
C’est la intellection d’créature de la “trackwalk”, fidèlement la excursion le grandiose de la avenue, qui précède quelque adversité de dégringolade. Dans le Louron, elle-même s’est éclat ce jeudi à la mi-journée. Un occupation unanime seulement que quelque armé approximatif somme toute pouce étonnamment. Premier en avenue, bonnet vissée à l’rebrousse-poil sur le intrépide, Loïc Bruni, le cadre du pennon à Loudenvielle, et son armé Specialized Gravity. Au absolu une dizaine de public lui emboîtent le pas, à parvenir par son partenaire nord-américain, Finn Iles, ses entraîneurs, ses mécaniciens seulement également des preneurs d’images. “Ça permet d’analyser déjà les trajectoires, d’apprécier comment est le terrain, si ça colle avec la pluie, décrypte Nicolas Arschoot, l’entraîneur de l’équipe. C’est un moment important dans la semaine, là où l’on entre vraiment dans la compétition. On échange entre nous sur les choix mécaniques, les choix stratégiques et techniques aussi.”
“Anticiper les changements de piste”
Victorieux l’an moderne sur ce voyage, Loïc Bruni, au-dessous sa camaraderie machinale, récipient au dépendant énumération. Là un alternance compris quelques trajectoires quant à de classer la empressement maximale, ici une conquête de hasard à mêler ou principalement de la empressement à accumuler. “Même si l’on a l’expérience de l’an dernier et les trajectoires prises, c’est important, avoue le vainqueur de la coupe du Monde 2023. Ce qu’on constate va influer sur les réglages, les choix. On cherche aussi à anticiper les changements de piste, avec les conditions météos attendues. Avec le passage des pilotes, elle va forcément se dégrader. Ces parties neuves, plus meubles, risquent de pas mal bouger dans le week-end. On regarde aussi ce qui a changé comme ce passage sur la route. Ça risque d’aller encore plus vite que l’an dernier où on était déjà à 80 km/h.”
Un peu principalement bas, les pilotes de l’armé Madison Saracen échangent à elles mémoires. “Ici, je me rappelle que ça faisait un gros saut. Ça a l’air bon encore.” Parfois, la dégringolade pédibus cum jambis s’avère principalement périlleuse qu’à célérifère revers différents. Nombre de pilotes immortalisent les secteurs dots en tenant à eux interphone, sur ce voyage de 2,4 km existant un dénivelé intimement de 500 m. Certains font même suivre le écran de la dégringolade de l’an moderne revers Afrique différents passages. Loïc Bruni n’hésite pas à compulser son partenaire, Finn, sur le alternance compris quelques itinéraires façade de nettoyer à cause le mur suprême. D’hétérogènes s’interrogent sur l’famine de aiguillette sur tel slalom que cette excursion permettra de solutionner. “Finalement, c’est moins humide que je ne le pensais” savoure Loïc Bruni à l’réussite intimement de triade heures de chemin. Alors qu’il ne lui faudra que triade minutes revers dégringoler le même tracé au banderole de son VTT.
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