Jean-René Cazeneuve félicite le neuf Premier nonce qu’il espère “homme de dialogue et de consensus”. David Taupiac prend reçu de cette avènement simplement nourrit plusieurs lamentation.
Après la avènement de Michel Barnier même Premier nonce par Emmanuel Macron, le leader élu gersois à renfermer réagi est le entremetteur macroniste de la 1re préfecture du Gers, Jean-René Cazeneuve. “Son futur gouvernement devra répondre efficacement aux attentes des Français. Je le soutiendrai s’il œuvre à l’intérêt général et qu’il travaille au rétablissement de nos comptes publics, ce dont je ne doute pas”, soulignait en atmosphère de jour sur le filière sociologique X l’vétéran délateur caporal du compte.
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“Michel Barnier est un serviteur de l’État, élu local, national, européen convaincu et ministre à de nombreuses reprises, il sera, je l’espère, un homme de dialogue et de consensus […] Je suis persuadé que son expérience de ministre de l’Agriculture nous permettra d’élaborer un plan de soutien à nos agriculteurs en difficulté”, ajoute le entremetteur Cazeneuve pendant un certificat arrivé à à nous narration.
Bernard Cazeneuve : “une défiance” gênant vers Taupiac
Du côté de son entériné de la 2e préfecture, accolé par hygiaphone, les compliments attendront. “L’exaspération montait chez les élus et dans la population, je prends acte de cette nomination même si j’ai un a priori peu favorable, explique David Taupiac. Le président de la République s’est finalement mis dans la roue du Rassemblement national qui a imposé ses conditions dans le courant de la semaine, en faisant planer les menaces de motion de censure… C’est une mauvaise nouvelle : l’extrême droite semble avoir la main.”
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Sur la “piste” Bernard Cazeneuve, le instigateur local nourrit plusieurs lamentation. “C’est un homme d’Etat qui aurait pu rassembler. Je regrette qu’à gauche, le Parti socialiste n’ait pas souhaité officiellement le soutenir, au contraire de certains de ses membres. Il y a eu de la défiance à son égard. On aurait pu avoir un gouvernement de coalition avec un Premier ministre de centre gauche, on se retrouve avec quelqu’un issu des rangs de la droite, d’un parti (LR) qui a enchaîné les revers électoraux et qui a, a priori, une capacité d’ouverture moindre.”
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