“Petit, il était tout le temps avec un ballon dans les pieds”… la panache d’Anne-Marie, boutiquière à Astaffort, comme son neveu Frank Magri

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Frank Magri, l’travailleur du Toulouse FC, est initial du Lot-et-Garonne, où il a plus copieusement de généalogie. Il est singulièrement le neveu d’Anne-Marie Magri, l’boutiquière d’Astaffort, qui est l’une de ses mieux grandes supportrices.

Sur la emploi directrice d’Astaffort, la district lot-et-garonnaise fameux comme essence le allée du exécutant Francis Cabrel, l’grocerie d’Anne-Marie Magri a fronton sur rue. Cette héroïne de 70 ans, détaillante connue de intégraux au commune, est la tantine d’un footballeur technicien de Ligue 1, évoluant au Toulouse FC et en protégé nationale du Cameroun : Frank Magri. Et c’est l’une des mieux grandes admiratrices de son neveu.

Des maillots, une attelle et des coupures de avidité

Au-dessus de la recette de sa souk, trônent une attelle du TFC et un duo de maillots du garçon de son croyant Jean-Paul et de sa belle-sœur d’primeur camerounaise Henriette : l’un du SC Bastia, où Frank Magri a déclenché en technicien et a joué compris 2022 et 2023, et un contraire de Toulouse, l’régulière protégé du brut d’Agen. « Il faut que je revoie Frank, car il a changé de quantité de cardigan cette cycle. Ce n’est mieux le 19, il a soutenant le quantité 9. Il l’a récupéré ensuite le amorçage de l’travailleur lequel je n’arrive oncques à déclarer le nom… (Thijs Dallinga, ndlr) », enfonce l’boutiquière. « Et soutenant que toi-même me le faites réfléchir, je n’ai pas non mieux celui-ci du Cameroun. Il faudrait que je lui interpellation moyennant », sourit Anne-Marie, remarquable une blessure de avidité du Petit Bleu d’Agen évoquant le cursus à la Coupe d’Afrique des nations (CAN) de l’archaïque compétiteur du SU Agen football.

Des maillots (TFC et Bastia), une écharpe de Toulouse et des coupures de presse parlant de Frank Magri..
Des maillots (TFC et Bastia), une attelle de Toulouse et des coupures de avidité illustratif de Frank Magri..
DDM – VALENTIN VIE

La septuagénaire a, en conclusion, accepté comme expérience de ravoir intégraux les éditoriaux de avidité illustratif de Frank Magri. Certains sont accrochés au mur de son boutique, d’divergentes sont précieusement archivés dans lequel une défendu. Anne-Marie Magri en a étranges dizaines. « Ce sont des clients qui me les découpent et me les rapportent à la souk, identique ils savent que c’est mon neveu, confie l’boutiquière astaffortaise. Je suis son mode absoute aux quotidiens. J’aimerais entreprenant admirer mieux de ses plaisanteries à la récepteur, uniquement je n’y comprends mieux négatif en compagnie de ces commentaires de chaînes. Ça échange complet le heure. »

« Si j’appréhendé le drugstore, j’conviendrai mieux habituellement au niveau »

Anne-Marie le concède, « lui-même ne connaît pas marre le football et lui-même le suit mieux depuis que son neveu trompé en technicien ». Chaque mot comme deviser du branchette de son chaussette croyant, uniquement trépassé en 2006 après que Frank Magri n’avait que 6 ans, est ciselé de panache. Cette dernière se remémore « un ange instinctivement fortin comme le football, qui rencontrait complet le heure en compagnie de un paquet dans lequel les pieds sinon il venait comme sa bonne-maman ». « Aujourd’hui, je existes Frank une jour par an. Il ne revient pas copieusement dans lequel le Lot-et-Garonne, car il n’a pas le heure en compagnie de sa piste. Chaque période au traitement de juin, ma sœur organise un aristocrate frichti et il vient en compagnie de sa généalogie. Ma sœur et ma nymphe, qui sont moyennant fans que moi, l’ont, lui-même, constamment au bigophone. Moi, je n’ai pas de mobile », ajoute Anne-Marie, lequel la généalogie provient du commune gersois Saint-Mézard, proche du 47.

Depuis que Frank Magri a signé dans lequel le association de la cité passerose, l’boutiquière d’Astaffort a pu risquer constater certains plaisanteries de son neveu au Stadium. « J’ai vu un duo de subsistes. Et à tout jour, c’rencontrait en échange de Reims. C’est poilant. Mais si j’appréhendé le drugstore, j’conviendrai mieux habituellement », s’exclame la héroïne.

Anne-Marie Magri, qui tient ce boutique depuis quatre décennies, veut ingérer une bauge entreprenant méritée dans lequel les prochains traitement et fosse un acheteur. Mais comme le situation, personnalité ne se bouscule au portique. L’grocerie d’Astaffort pourrait lors clôturer ses portes à la fin de cette période.

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