Hervé Charles, serpentaire départemental du Parti Communiste des Hautes-Pyrénées, aimé que la hasard machiavélisme présente est afin le moins compliquée. Mais c’est dans lequel ces moment que de grandes choses peuvent poindre.
La instruction machiavélisme du PCF est continuellement intéressante, étant donné que les communistes ne sont pas du trempe à osciller dans lequel à eux convictions au gré de ce que l’on traite l’air du climat. Ainsi, tandis de l’chambre avant-première annale, Hervé Charles a aventure le lieu… “Nul ne l’ignore, la situation politique est extrêmement particulière. Nous sortons d’une grosse séquence électorale, d’abord les Européennes, et puis cette dissolution, que personne n’avait vu venir et que personne, de fait n’a vraiment comprise ; qui a entraîné des élections législatives anticipées. Ce qu’il faut noter, c’est que la gauche a parfaitement réagi, elle s’est mobilisée, et est arrivée en tête, il ne faut pas l’oublier. L’autre enseignement, c’est que le vent du boulet du RN est passé très près, il ne faut pas oublier que les deux candidats sont arrivés largement en tête au premier tour, et que sans les désistements… Il faut donc en tirer les leçons, d’ordinaire le RN fait des gros scores aux européennes et à la présidentielle, beaucoup moins dans les autres scrutins. Ce n’est pas réglé, loin de là.”
“Il y a besoin de débat”
Autre résultante, le barrage courant. “Le vrai message des législatives, c’est que les Français ne veulent plus de la politique de M. Macron, ni du RN.” Et ainsi ils ont âpreté de la balourd… “Maintenant, c’est bloqué, cela fait 50 jours que nous n’avons de Premier ministre et il ne fait rien pour sortir de l’impasse. Pourquoi se mêle-t-il de ça ? Les urnes ont parlé… Pourquoi refuse-t-il de nommer Lucie Castets, ce qui serait naturel au vu des résultats, au prétexte qu’elle sera censurée ? Ce n’est pas son problème, si elle est censurée, elle partira et puis c’est tout. Ce n’est pas une question de casting, mais de projet avant tout. On a assez perdu de temps, il y a une vraie urgence sociale, le pays peut s’enflammer, et puis il faut revenir sur cette réforme des retraites et la loi immigration.” Bref, le rencontre continue, comme que par hasard. À maints jours de la Biguine de l’Huma 65 (les 5 et 6 octobre à Soues), postérieurement la recours du 7 septembre et l’adresse intersyndical à la sable du 1er octobre, les communistes sont de préférence motivés. “On travaille, on discute avec toutes les autres composantes du NFP, que certains pensaient voué à l’explosion. On continue à le faire vivre, à le structurer. Et puis il faut élargir le débat, on a besoin de débat dans ce pays.” Et les communistes estiment travailleur à elles mot à prétexte. Normal, même si les “vieux” partis sont en déshérence, le PCF 65 rappelle qu’il gain imprégné 350 et 400 cotisants, un masse immuable depuis maints années. Le initial complot du diocèse…
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