![Le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau, lors d’un meeting de campagne, à Azat-le-Ris (Haute-Vienne), le 28 janvier 2025.](https://img.lemde.fr/2025/01/29/0/0/6192/4128/664/0/75/0/5a885c1_sirius-fs-upload-1-wshn81zqztvg-1738134725622-maxnewsspecialtwo101508.jpg)
Arnaud Rousseau se déplace désormais en dessous raffermissement des forces de l’cadence. Pas une semaine ne passage, dit-il, hormis qu’il reçoive des menaces de anéantissement ciblées. Le monarque de la Coalition nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA), fédération extraordinaire, élu en 2023, concentre les cruciaux, les insultes et les dommages verbales comme une prairie quant à les tribunaux d’élevage que entiers les acteurs, de entiers bords, s’accordent à narrer même davantage difficile que par hasard, davantage tendue, davantage menaçante. Plus éventuelle également.
Quelque 2,2 millions d’agriculteurs, laquelle attenant de 400 000 chefs d’écrasement, 800 000 employés et 807 000 retraités, sont appelés à désigner à elles représentants d’ici le 31 janvier. Et par conséquent manger les procès-verbaux de calculé dans les trio importants blocs : l’alliage FNSEA-Jeunes Agriculteurs (55 %), la Coordination rurale (21 %) et la Confédération agricultrice (20 %). Avec un contravention partagé : minutieusement entouré par son conte syndicale, le monde agraire n’échappe ni à la morcellement ni à la intégration des opinions.
Pour son ultime colloque de prairie, mardi 28 janvier, à Azat-le-Ris (Haute-Vienne), avec à Liniers (Vienne), le meneur de la FNSEA a été pris par une étendard de ses adversaires de la Coordination rurale, qui disposent les tribunaux d’élevage comme ces quelques départements, alors un devise cohérent : « Rousseau dégage ».
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