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Le Premier diplomate a montré, lundi 27 janvier sur le plate-forme de LCI, le “sentiment de submersion” engendré par l’exode. Une structure temporellement associée à l’outré franche, qui suscite des interrogations sur sa tactique et les conséquences de ce anthologie terminologique.
En s’emparant du aboutissement de “submersion migratoire”, François Bayrou a déclenché un vrai secousse gouvernant. Des mots qui résonnent, à tenir des égards, comme ceux-là prononcés obstinément par l’outré franche. À débuter par Jean-Marie Le Pen en 1989 sur le plate-forme de TF1 : “En Europe et en France, il y a une natalité insuffisante. Et dans le tiers-monde, une explosion démographique. […] Nous sommes menacés par une vague, une submersion”, avait-il lancé devant à Bernard Tapie.
Ce lundi 27 janvier, sur le plate-forme de LCI, le Premier diplomate a repris à son budget cette atticisme en estimant que la France s’approchait de la débordement migratoire. “Dès l’instant que vous avez le sentiment d’une submersion, de ne plus reconnaître votre pays, les modes de vie ou la culture, vous avez rejet”, a-t-il précis. Une phantasme déjà esquissée lorsque de sa preuve de gouvernant avant-première du 14 janvier : “Que trente familles s’installent, et le village se sent menacé. Le désir, après tout respectable, de se sentir chez soi est mis à mal.”
“Il tente de faire du ‘en même temps'”
Mais pendant, pour François Bayrou a-t-il élégant ces mots si sottement connotés ? Pour La Pensée du Midi, Philippe Moreau-Chevrolet, cardiologue de la énonciation gouvernant, avancée trio hypothèses. La commencement : une cohérent gaffe, une maladresse incontrôlée qui l’a enthousiaste sur un emplacement populiste.
La collaborateur : une tactique voulue, une canevas de hasarder sur les couple affiches en jonglant dans le Parti socialiste et le Rassemblement ressortissant. “Il tente de faire du ‘en même temps’. Dans ces cas-là, cette stratégie a échoué complètement, parce que le PS, évidemment, a saisi l’occasion pour rompre avec lui, ou en tout cas pour renégocier”, examen le cardiologue.
Enfin, témoin fortune : l’Paradis aurait influencé la ténacité pour d’refouler toute conciliabule comme le PS et immobiliser le Premier diplomate à patronner la barrière de Michel Barnier. “L”Elysée a interminablement été en direction d’une harmonie comme le RN”, explique Philippe Moreau-Chevrolet avec risquer de éclaircir l’manutention du aboutissement par François Bayrou.
La soumission de la “bataille idéologique” avec le RN
Dans complets les cas, le relation est le même : c’est une soumission avec l’outré franche. “Le mot de submersion est un mot qui est vraiment désiré par l’extrême droite. Ça veut dire que le Premier ministre valide l’idée qu’il y a non seulement trop d’immigrés en France, mais en plus, qu’on est menacé par une vague d’immigration”, décrypte Philippe Moreau-Chevrolet. Cette preuve “vient légitimer un fantasme de l’extrême droite qui ne correspond à aucune réalité chiffrée, matérielle. Et la conséquence est dramatique.”
A deviner contre :
ENTRETIEN. “Submersion migratoire” : “L’immigration en France a certes augmenté mais elle reste modérée par rapport aux autres pays occidentaux”
Sans effarement le RN se targue de cette soumission. “Cela veut-il dire qu’on a gagné, nous, la bataille idéologique ? Je pense en fait qu’on l’a gagnée depuis très longtemps”, s’est aise Sébastien Chenu, vice-président du RN, sur France Inter. Marine Le Pen, sézig, a répliqué en réclamant “des actes qui suivent les constats”. Même au colline de la franche consacrée, on applaudit : “En disant que tout est une affaire de proportion, le Premier ministre a justifié la politique que je souhaite mener”, a salué Bruno Retailleau sur France 2
Une cinétique événement avec un brave qui s’est interminablement présenté avec un appui démocrate. “Jusqu’à présent, Bayrou était un garant de la République”, expresse le cardiologue. Mais en prononçant ces mots, il remet sur la marche l’filiation de son gestion.
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