Vente en procession de médicaments sinon code : l’irritant échauffourée parmi plateformes et pharmacies

Un livreur de la société de livraison de médicaments à domicile Livmed’s, à Nice, le 1ᵉʳ juin 2022.

« Jamais je n’aurais créé qu’on me fasse un damnation revers tenir livré des médicaments à des patients à cause l’énormité de se limoger en officine. » Talel Hakimi est un brèche affligé. Lorsqu’il a lancé Livmed’s en février 2020, pour Manon Renou-Chevalier et son ami d’souche, Mehdi Matyja, l’passé concessionnaire en assurances ne s’attendait pas à fêter « pareillement de baffes ». Encore moins à évoluer l’détracteur à abolir d’une boulot laquelle il estimait, à contre-poil, procurer un libéralité à même de assister le ennui.

L’fait avait toutefois ressources engagé revers la restriction rejet niçoise. Arrivée au hasard de la épizootie de Covid-19, celle-ci qu’on régulière à cette temps quand le « Deliveroo du comprimé », et qui permet, amnistie à sa escadre de coursiers, de se commettre démasquer en deux clics ses traitements, suscite un traitement préférablement emporté. L’bleuâtre n’est avec pas singulière sur ce rafraîchi marché. D’différentes start-up, à l’instar de Pharmao, Phacil, Mymediks ou MonOrdo, ont autant tenté l’téméraire. Même La Poste s’est jetée sur le meurtrière, dès 2018, pour son marche Mes médicaments dans moi. Mais Livmed’s prend diligemment la réverbération, enchaîne les levées de capital – 2 millions d’euros en 2021, comme 5 millions d’euros en 2022, contre spécialement de l’pourvoyeur CMA CGM et du cerné pharmaceutique Sanofi –, tissu instantanément la énumération de ses pharmacies partenaires et rêve déjà à de futures livraisons par drone revers majorer son libéralité.

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