“Je n’y peux rien !” : critiqué moyennant ses errata de hexagonal, le nonce Stéphane Séjourné évoque son “handicap”

Ce chahut 20 janvier, le nonce des Affaires étrangères Stéphane Séjourné a incarné sa “très forte dyslexie” à cause une pour-parlers symétrique au Parisien. 

“C’est pas moi qui décidera”, “Voir ce qu’ont besoin les Ukrainiens”Les errata de hexagonal de Stéphane Séjourné ont conte bougrement confabuler depuis sa prix au office des Affaires étrangères

Dans une pour-parlers symétrique au Parisien, ce avoisinant d’Emmanuel Macron a incarné ce “handicap”. 

“Très jeune, j’ai été diagnostiqué avec une très forte dyslexie (trouble de la lecture et de l’écriture qui apparaît chez certains enfants), a-t-il expliqué à nos confrères. Il y a quinze ans, je n’aurais pas pu avoir la discussion que j’ai en ce moment avec vous. À force de travail, de rééducation, j’ai presque gommé l’intégralité de mes défauts à l’oral. Cela revient toutefois quand il y a un moment de fatigue ou de stress important, et je n’y peux rien ! Des mots s’inversent, par exemple.”

Quel bruit sur son boum ?

Pour aussi, Stéphane Séjourné l’assure, sa dyslexie n’a “aucune implication sur son travail, son efficacité, ses échanges dans les négociations internationales”. 

Le nonce des Affaires étrangères tient même à expédier un déclaration d’certitude aux “millions” individus accosté de ce inconvénient :  “Cela peut paraître insurmontable mais, regardez, tout est possible. Ne désespérez pas !”

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