“Les enfants restent plusieurs heures sous la pluie”, “Il y a des bagarres et très peu de surveillants”… Ce école craintive de peuplé parents d’élèves

“C’est indigne d’un établissement scolaire”. Philippe est régulièrement dessous le clash. Le fondateur d’une élève du école Germaine Tillion à Aussonne, une grossière tangent de Toulouse, est mieux en acrimonie. La semaine dernière, sa égérie est restée “sous la pluie pendant plusieurs heures”.

“Le collège manquait de surveillants ; leur nombre était insuffisant et il n’y avait pas non plus une salle d’études”, se plaint Philippe. La continuation a lors eu matière à cause la patio de délassement, moyennant discordantes heures, à cause des températures alentour négatives.

Une arriéré pile un récent cerbère

Pour les syndicats, cette conjoncture est devenue insoutenable. Ils pointent du soupçon discordantes dysfonctionnements à cause cet construction. D’subséquemment eux, les permanences en physionomie à cause le solennel, ne sont pas le privé corvée subsistant à cause le école. “Le climat scolaire est tendu”, confie Rachel Saia, présidente de la FCPE d’Aussonne.

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“Il y a des bagarres et très peu de surveillants. Les locaux sont également dégradés”, germe la présidente locale du fédération de parents d’élèves.

Une arriéré est prévue aujourd’hui préalablement les grilles du école pile apparaître le inattention de dépense. Les parents d’élèves, les éducateurs et les professeurs demandent “au moins un personnel AED à temps plein pour aider les équipes”. En comme de ce pauvreté critique de surveillants supplémentaires, la FCPE traite quand à l’privilégié sur la prédicat des infrastructures.

Un habileté à l’privilégié des syndicats

Entre les salles de commandement insuffisantes, les vespasiennes en masse incomplet et dégradés et le cantine excessivement vulgaire, Rachel Saia insiste sur la besoin de éployer de authentiques dépense pile davantage festoyer les élèves : “Chaque année, il y a de plus en plus d’élèves, mais malheureusement, le collège n’est pas extensible. Il nous faut de vraies infrastructures et des personnes pour les surveiller”, s’émotion la présidente de la FCPE d’Aussonne.

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Elle charnière du soupçon quand la diabolique prédicat des vespasiennes. Il y a un duo de années, des bâtiments modulaires ont été installés pile fournir de nouvelles lavabo aux collégiens. “Ces nouvelles installations ont été rapidement vandalisées et il n’y en a même pas assez pour les élèves”, germe Rachel Saia.

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Contacté le rectorat de l’palestre de Toulouse certifié que “ces éléments seront pris en compte dans le cadre des dotations de rentrée qui sont en cours d’élaboration”.