Lors d’une colloque sur France Inter, ce dimanche 28 janvier, la présidente de l’Assemblée nationale a dévêtu garder été mort de menaces ou de billet antisémites “depuis un an et demi”.
Invitée de l’propagation Questions politiques sur France Inter, Yaël Braun-Pivet, la présidente de l’Assemblée nationale réagissait à un coût parenté du Crif, ce dimanche 28 janvier. Elle y recense quatre jour puis d’activité antisémites en 2023 proportionnellement à l’cycle précédente et une “explosion” ensuite le 7 octobre, instant des pièges du Hamas quelque Israël. “Moi-même, depuis un an et demi, (…) j’ai refait le compte, j’ai déposé plainte à 23 reprises pour des menaces ou des lettres antisémites que j’ai pu recevoir”, a-t-elle prescrit.
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Des activité “épouvantables”
Elle a décrit des menaces qui “renvoient à mon judaïsme que je n’ai jamais caché”. “On m’envoie des étoiles jaunes, on regrette que ma famille n’ait pas été totalement exterminée dans les camps”, a-t-elle revue, qualifiant ces activité d'”épouvantables”. “C’est quelque chose qui doit nous mobiliser tous”, a-t-elle estimé, déplorant “une libération de la parole, que ce soit sur les réseaux sociaux” cependant contre “dans la vraie vie” derrière “des gens qui assument des opinions antisémites face à des caméras, en les écrivant sans même cacher leur identité”.
Pour “un sursaut collectif”
“J’appelle à un sursaut collectif parce qu’il en va des fondements de notre République et de ce que nous sommes, nous, en tant que peuple français”, a dit la présidente de l’Assemblée, légataire des immigrations juives polonaise et allemande, derrière des ascendants arrivés en France comme les années 1930.
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