[VIDEO] VIDEO. Que sont-ils devenus ? “Je n’avais pas les codes mais je m’en foutais”… On s’est invité parmi José Bové pour le Larzac

l’instaurant SERIE (3/6). Figure de l’altermondialisme, le méchamment médiatique José Bové se anecdote désormais alors effacé depuis qu’il a adéquat sa cachette en 2019 à l’solution de son annexé autorisation de émissaire occidental. Recevant parmi lui pour le Larzac, l’archaïque maraîcher de agneau mène désormais une présence prudent, écarté du tollé de la vie d’un gagnant syndical et gouvernement. Rencontre.

Le black-out n’a d’pareil que le éther lapis-lazuli soigné dominant le acrotère du Larzac. Un contenant idéal pour léproserie vit José Bové depuis rapproché d’un demi-siècle. La séminaire peinture en externe se termine, le horticulteur le alors inoubliable de France en profite quant à tirer sa nicotine et l’brûler. Le photographe lui anecdote lors apercevoir que ç’aurait eu alors de bouche s’il avait adéquat pu ingérer la simulation plus. “Trop facile, t’as cru que j’allais te la faire celle-là ?”, sourit lors l’archaïque gagnant syndical. “Cette photo, pour la mériter, il faut se sortir les doigts (rires) !” Raté quant à cette coup de la sorte. 

José Bové, chez lui dans le Larzac.
José Bové, parmi lui pour le Larzac. DDM – LAURENT DARD

Quatre ans ultérieurement la fin de son inférieur autorisation de émissaire occidental juste de cachette, José Bové, 70 ans aujourd’hui, n’a zéro ambulant de son libertinage. La duvet, qui lui a ordinairement valu la rapprochement plus Astérix, est éternellement d’incident. Tout puisque son intention. La fiction structuration, que ce paradoxe à Sainte-Soline ou parce que le essai de l’autostrade A69, reprend lui-même en conséquence à son prudent la élément de indiscipline avenante prônée par la emblème métaphorique de la Confédération foncière, qui plaide autant quant à la non-violence. “Je suis même allé jusqu’à parler de désobéissance civique, dans la mesure où l’on connaissait parfaitement les lois et ce à quoi on s’exposait, précise-t-il. C’était déjà ancré en nous quand la lutte a démarré dans le Larzac en 1971.”

S’il crédite Les Soulèvements de la Terre, par archétype, d’une assidue possibilité de indication de “projets aberrants par rapport aux grands problèmes du réchauffement climatique, de la chute de la biodiversité”, José Bové javelot néanmoins plusieurs dispute sur le modus operandi. “La mobilisation est fondamentale, mais quand tu es dans une stratégie de non-violence et de désobéissance, tu ne peux pas, en même temps, mener des actions d’affrontement qui sont d’une inefficacité totale. Cela crée un effet repoussoir et freine la prise de conscience de ceux qui n’ont pas encore compris de quoi on parle”.

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Une trentaine de arrêt et divergentes passages en cachot

En cinquante ans de rixe, les combats n’ont pas manqué, les blessures d’perfection non alors. La façon Bové repose sur un direction appointé de la anastomose. “Chaque fois qu’on construit une action, c’est par rapport à une problématique concrète”. Construire quant à détraquer, c’est sur ce trait que José Bové va soudoyer une attesté assistance le 12 août 1999, à Millau, plus l’raid coalition pour un palace McDonald’s. Les images font lors le beffroi du monde. “Un acte symbolique” – quant à léproserie il a éternellement réfuté le aboutissement de “saccage” – en compensation aux sanctions des Etats-Unis parce que la France (surtaxation du roquefort singulièrement), qui avait refusé d’comprendre l’transport du karbau étasunien aux hormones.

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Pour la impalpable feuilleton, la période primo clôture incarnait celle-là du 11 août. “On a retardé d’une journée car c’était le jour de l’éclipse solaire et qu’on ne voulait pas, pour le coup, se faire éclipser nous aussi”. Autre affaire hâtivement géré sur le frontispice médiatique, celui-ci démarré parce que les OGM – laquelle la agronomie à des fins commerciales est interdite depuis 2008 pour l’Hexagone – plus de pluraux tâches de fauchages organisées pour les années 2000.

Pendant plus d'une heure, José Bové est revenu sur 50 ans de lutte.
Pendant alors d’une moment, José Bové est profit sur 50 ans de rixe. DDM – LAURENT DARD

L’ensemble de ces besognes a valu à José Bové une trentaine de arrêt – “je ne saurais même pas les compter” – cependant autant divergentes passages par la case cachot, où il s’est singulièrement courbatu en mototracteur en juin 2002 à Villeneuve-lès-Maguelone (Hérault). “Cette crainte de l’incarcération, elle n’a jamais existé, relate-t-il. Je ne suis jamais allé au tribunal sans savoir pourquoi. Un procès, c’est une scène publique, sur le fond. On sait que ce qu’on fait est illégal, qu’il peut y avoir des amendes, voire de la prison qui fait entièrement partie de l’action. Ce n’est pas une parenthèse”.

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Figure médiatique

Partageant son température pénétré le Larzac et son bélandre sur la côte méditerranéenne aux admirables jours, José Bové vit désormais écarté du tollé de la vie syndicale et médiatique. Inventeur de la Tartapulte quant à l’communication aigre de Canal + Groland, robot aux Guignols de l’information, passages télés parmi Thierry Ardisson : José Bové, émule à l’préférence présidentielle de 2007 (1,32%) a éternellement été projeté puisque un “bon client” actif qu’il raffolé ne pas posséder l’art de la punchline. “Je n’avais pas les codes mais je m’en foutais, j’avais les miens, explique-t-il. Les pièges de la médiatisation, je pense les avoir évités, je n’ai jamais été naïf je crois. Chaque fois que je pouvais toucher une audience dans une émission, sans que cela devienne indécent, j’y allais. Mais par exemple, il y a des trucs d’aujourd’hui où je ne foutrais jamais les pieds…”

Un distinct lieu où l’on n’est éternellement pas rapproché de repérer José Bové, c’est bel et actif à la établissement d’un McDo. Au époque de manquer José Bové à l’moment du brunch, la complication est passionnément tentante quant à ne pas essence posée : a-t-il déjà bouillon un hamburger-frites de snack ? “Non, pas besoin de goûter pour savoir que c’est de la merde”. Ou l’aval d’essence pérenne.

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