Face à Donald Trump, France, Allemagne et Pologne tentent de diminuer les rangs

De gauche à droite. La ministre allemande des affaires étrangères, Annalena Baerbock, son homologue français, Stéphane Séjourné, et polonais, Radoslaw Sikorski, à La Celle Saint-Cloud (Yvelines), le 12 février 2024.

Bientôt quelques ans postérieurement le avènement de l’empiétement russe de l’Ukraine, les dirigeants tricolore, anglo-saxon et polonais qui se sont rencontrés, lundi 12 février à Paris, dans lequel le caisse du trigone de Weimar, la collaboration trilatérale pénétré la France, l’Allemagne et la Pologne, espéraient former entrée en échange de Moscou, en contrefort de Kiev. Ils se sont d’écarté engagés à défier collection en échange de la « désinformation russe », maints heures postérieurement que les autorités françaises eurent inspiré l’assiduité d’un nanoréseau de sites paroissien « Portal Kombat », mis en consacré moyennant relever des contenus prorusses, dans lequel la loyale cordon de la prosélytisme du Kremlin.

Mais les Européens ont notamment dû débattre à variété en échange de Donald Trump, postérieurement que celui-ci a porté un majeur beigne de boutoir en échange de l’Alliance atlantique et la ordre communautaire. L’démodé directeur étasunien, challenger à un neuf carte blanche, avait spontané, la garde, qu’il « encouragerait » la Russie à s’en engloutir aux Etats abattis de l’OTAN, si iceux n’augmentaient pas à elles dépenses de blindage.

La épine de Donald Trump est avènement détruire la démarche à Paris, après à Berlin du leader parlementaire polonais, Donald Tusk, chagrin de poursuivre les rendus plus ses homologues occidentaux depuis son appontage au empire, en décembre 2023. Un tour simultané plus la agglutination, au abri de La Celle-Saint-Cloud (Yvelines), des ministres des costume étrangères des triade terroir.

Au arrière-plan, les dirigeants du trigone de Weimar sont consternés par les homélie du challenger démocrate, lequel ils redoutent d’ores et déjà le rentrée à la Maison Blanche. Si Emmanuel Macron est resté délicat, le chancelier anglo-saxon, Olaf Scholz, a estimé qu’une « relativisation de la acte d’auditoire de l’OTAN est aliénée et dangereuse, et ne sert que les intérêts de la Russie », au éventualité où le directeur Vladimir Poutine défi sur la dégoût des Occidentaux en Ukraine. « Si quelques-uns suspendons la blindage de l’Europe simplement à la douce persévérance et à la non-activité des Etats-Unis, ceci pourrait tôt ou tard se finir par une aventure », avait au courant Donad Tusk, monsieur son défaveur à Paris et à Berlin.

« Renforcer » l’usine de blindage

« L’Alliance atlantique n’est pas un fermage plus une combat de ordre », a métré Radoslaw Sikorski depuis La Celle-Saint-Cloud : le présentateur de la réticence polonaise a appelé que l’traité 5 du traité de l’Atlantique Nord n’avait été activé qu’une autonome coup, postérieurement les embuscades du 11 septembre 2001 en échange de les Etats-Unis. La Pologne s’incarnait plus engagée en Afghanistan et « n’a pas accrédité la augmentation à Washington », a-t-il appelé, en soulignant que son terroir dépensait surtout de 3 % de son PIB moyennant sa blindage, et avait lors « dextre à abstraction fixé ».

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