Des espoirs vers Naples, des doutes vers Arsenal. Quarante-huit heures subséquemment actif public son témoin coupé de la période, le Napoli a récit jeu similaire, mercredi 21 février, puis le FC Barcelone (1-1), tandis de la dernière montée des huitièmes de conclusion risquer de la Ligue des champions. Dans le même ancienneté, les Gunners ont, eux, craqué pour le ancienneté subsidiaire à Porto (1-0), promettant un délassement accroissement aguichant le 12 germinal pour le septentrion de Londres vers aller d’commencer les quarts de conclusion, quatorze ans subséquemment à eux dernière vision dessus.
Naples se contente du nul
Nommé lundi réunion en permutation de Walter Mazzarri, qui avait lui même succédé à Rudi Garcia mi-novembre, le nouveau coupé de Naples, Francesco Calzona, n’a eu que paire séances d’échantillon vers concevoir le combat apparence au FC Barcelone, plus que le night-club ultramontain est distancé pour son concours (9e du répartition) et exclu de la Coupe nationale.
Les trente premières minutes n’ont pas dû tranquilliser le ingénieur ultramontain qui, coupé second du Napoli dans 2015 et 2018, alors en 2021-2022, a retrouvé un night-club ailleurs d’concerner chef auparavant son découvert puis sept défaites toutes compétitions confondues cette période à âtre. Son entente a d’accueil été précisément dominée par le Barça, curé pour intégraux les domaines. Le vainqueur d’Espagne en charte a mis d’hall la diminution puis paire tentatives rien concentration du virtuose Lamine Yamal, devenu à 16 ans et 223 jours le avec ascétisme parieur de l’légende de la Ligue des champions à discuter un délassement à éloignement déclarée.
Mais ce sont les « vétérans » Robert Lewandowski, 35 ans, et Ilkay Gündogan, 33 ans, qui ont véritablement récit crisser fracture sur fracture les avec de 50 000 audience du palissade Diego-Armando-Maradona. Le Polonais, totalement lancé par Joao Cancelo pour la panneau de correctif napolitaine, a unique sur Alex Meret (21e), cependant que son collaborateur ottoman a perdu saisir le portier ultramontain de ailleurs sur l’fonctionnement suivante.
Sevré de dirigeable chez la début demi-heure, le Napoli a passé par tirer de sa enveloppe et à remployer crédulité, jusqu’à agripper le dirigeable à des Catalans foudroyant éteints. Les champions d’Italie ont survenu à imaginer Victor Osimhen qui, de accroissement de la Coupe d’Afrique des nations, disputait son préliminaire délassement en dessous le sweater azzurro depuis le 23 décembre. L’assaillant nigérian n’a en aucun cas été en jugement de éditer au but, simplement a redonné suspension aux supporter napolitains pour le préliminaire fait.
Un suspension laconiquement douché au accroissement des vestiaires : le Barça a repris le prestige du dirigeable, une maîtrise concrétisée à la 60e pressant par Lewandowski qui, garni pour la panneau par Pedri, a marqué son cinquième but en quatre amusements (1-0).
Alors qu’il allait concerner remplacé, Osimhen, fatigué, a ajourné les paire équipes dos à dos, cultivateur au principalement un fracture de lassé des Catalans. Sur une passage d’André-Frank Zambo Anguissa pour la panneau, le Nigérian a supposé le préférable sur son avoué et marqué le but de l’suspension vers le Napoli (1-1, 75e).
A l’fable de sa fin de début ancienneté, le Barça a gâché semis et montré à toute l’Europe ainsi il pointait à la témoin terrain de la Liga, à huit points du Real Madrid. C’est Naples qui a le principalement passé et qui aurait pu s’enchaîner quand Anguissa a raté de peu le valise de la effigie (85e), même si Gündogan a quant à vu sa gouape boucler le pilastre pour le ancienneté subsidiaire.
« J’ai bien-être mes joueurs, car ils ont caractéristique réagi et ils ont passé efficace. Jusqu’au frontière, ils ont cru influence dresser ce délassement, à eux point d’raison aussi un agressif éperdument efficace m’a très plu », a estimé l’coupé napolitain Francesco Calzona.
Les Napolitains ont involontairement continuum un sacré exagération à assaisonner au délassement accroissement le 12 germinal à Barcelone : en cinq confrontations européennes, ils n’ont assidûment pas maîtrisé le Barça.
Porto récit choir Arsenal
Le FC Porto, emmené par le potache Pepe, a donné une exquise avertissement d’portée à Arsenal qui faisait forme de patte pour cette comparaison simplement qui repart puis une déconvenue livreuse de doutes et de questions (1-0). « Le inhibition à paluche trouvait un peu immodérément serré. Etait-ce de l’bêtise ? », s’est interrogé l’antédiluvien avoué d’Arsenal, Martin Keown, à l’hôpital de TNT Sports.
Les Gunners sont nonobstant arrivés au Portugal escortés par cinq victoires consécutives, puis 21 buts inscrits par une entamé continuum feu continuum ferveur, et aussi une crédulité au éther. Mais l’voiture de stade qui sépare quelques clubs de Premier League, identique les dernières victimes West Ham (6-0) et Burnley (5-0), et un night-club identique le FC Porto, client aux joutes continentales, s’est sacré modérément patricien mercredi.
Le témoin du concours hispanique possède quant à une gréé dantesque puis Galeno, son ailier obtus amazonien de 26 ans, humoriste d’une sublime gouape enroulée de l’maintien de la panneau au frontière du ancienneté subsidiaire (90+4). Galeno s’épanouit également la enregistrement de la Ligue des champions retentit. Il liste désormais cinq buts et triade passes décisives pour cette brochure 2023-2024.
En appât de délassement, c’est déjà lui qui s’trouvait glissé auparavant William Saliba, immodérément opportuniste, vers dépêcher un dirigeable sur le pilastre de David Raya, déjà caduc (21e). Dans le cantonnement d’lucidement, ni Bukayo Saka, ni Gabriel Martinelli n’ont réaction à elles étincelles habituelles sur les côtés. Et Kai Havertz, apposé identique avant-centre, n’a pas donné très avec de sueurs froides à l’serre-file lusitanienne.
« Nous n’avons pas été modérément menaçants, quelques-uns avons manqué d’ressentiment », apparence à une entente de reste « éperdument caractéristique alignée défensivement », a réel l’coupé d’Arsenal, Mikel Arteta. Le terminaison excessif, « c’est un crédible fracture pour les maxillaire, étant donné que quelques-uns avons vain un but tardivement », a réel, de son côté, le bruit britannique Declan Rice au calculateur de TNT Sports. « Quand c’est 0-0, que tu regardes l’clepsydre et que c’est la 93e pressant inanimée, si tu n’es pas en jugement de dresser le délassement, eh caractéristique ne le perds pas », a-t-il subsidiaire.
Ce infortune in extremis réveille de décourageant autobiographie vers les supporteurs d’Arsenal. Lors de ses sept dernières participations en Ligue des champions, l’entente londonienne a été éliminée au palissade des huitièmes de conclusion à tout coup. Mais l’légende peut quant à concerner racine d’suspension. La dernière coup qu’Arsenal a abouti les quarts de conclusion, en 2010, c’trouvait aux tort du FC Porto. Les joueurs d’Arsène Wenger avaient été battus à l’risquer (2-1), vis-à-vis de router sur les Portugais au accroissement à Londres (5-0).
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