Tour de France 2024 : “Ça va mettre des souvenirs plein la tête à tout le monde” se réjouit Patrick, gratuit à Villeneuve-sur-Lot

l’constituant Le Tour de France, une titanesque concertation laquelle le brochure des fonctions imposé par ASO, bailleur de l’événement, est terriblement approfondi. Un brochure des fonctions qu’il serait imaginaire de estimer littéralement s’il n’vivait des centaines de bénévoles, chez quelque coin de bourgeonnement et d’accession, continuellement prêts à gérer de à elles période et de à elles bravoure comme “vivre le Tour” de l’secret.

Patrick Morival n’est gagné à Villeneuve-sur-Lot qu’en 2015. “Je n’ai pas vécu l’arrivée de 2000. mais j’en ai vécu d’autres à travers la France lorsque j’étais encore en activité. À Cambrais par exemple, ou encore à Orchies en 1982. À cette époque, je faisais partie des dirigeants du club cycliste d’Orchies. Un club dans lequel j’ai longtemps été coureur. Je courais en senior 2. Les entraînements, les courses. Au bout d’un moment, ce n’était plus vraiment compatible avec ma vie de famille et surtout ma vie professionnelle. Mais je suis resté attaché au club en tant que dirigeant et directeur sportif. mais surtout bénévole, sur tous les événements autour du cyclisme organisés ici”.

A engouffrer ainsi : DOSSIER. Pourquoi le Tour de France 2024 sera une pain banquière comme Agen, Villeneuve et le Lot-et-Garonne

Il faut affirmation que ces terres du Nord et la rapport de la Belgique font matière du couchette célèbre des courses cyclistes, qu’elles-mêmes soient collectionneur ou technicien. “Au sujet du départ de l’étape de 1982 qui partait de d’Orchies. C’était un contre-la-montre par équipe et qui devait arriver à Fontaine-au-Pire. L’étape du jour ne s’est jamais terminée. La course par équipes a été bloquée à 30 kilomètres du départ par les ouvriers sidérurgistes d’Usinor, dont la direction a annoncé 24 heures plus tôt le licenciement de plus de 1000 personnes. La situation n’a pu être débloquée malgré les négociations entre organisateurs et syndicats sidérurgistes. Tout cela fait partie de l’histoire du Tour”.

Une vie alentour du vélocipède rassasiée de biographie

Même si Patrick est décidé à plantureusement se disgracier sur le terroir tricolore, de par sa métier, “j’étais chargé de coordonner et de piloter des chantiers de base logistiques”, il continue à courtiser le monde du vélocipède. “En décembre 1985, j’ai été invité par le président du vélo club d’Orchies, M. Leroux (la fameuse chicorée Leroux), à la remise d’une médaille récompensant Jean Stablinski, champion de France en 60, 62, 63, 64 et champion du monde en 1963. Il venait souvent assister à des courses sur le territoire, pour son plaisir. Il ne manquait jamais de venir saluer les commissaires et l’ensemble des bénévoles en charge de l’organisation de ces courses. J’ai aussi  souvent croisé Jean Réveillon, qui a été, entre autres métiers, directeur des sports au sein des chaînes publiques France 2 et France. C’était également un coureur amateur. Et lui comme tous les autres coureurs, qu’ils soient professionnels ou amateurs connaissent toute l’importance du travail des bénévoles dans l’organisation du monde cycliste”.

“Quand j’ai su que des bénévoles étaient recherchés, je n’ai pas hésité”

En 2015, Patrick Morival s’vrai à Villeneuve, idoine à la tour de Pujols et de sa éternelle coude annale, le illustre Grand Prix du Mont Pujols. “J’y suis allé en tant que spectateur. Sauf l’année dernière où j’ai été invité à assister à toutes les courses du Paris-Roubaix”. Il continue à style un duo de sorties, “lorsque le temps le permet, des sorties de 15 à 20 kilomètres”.

Mais sinon on a la ardeur du vélocipède, être chez une période du Tour de Grance, ça réveille. “J’ai quand même assisté à de nombreuses arrivées ou des départs d’étapes. Et je sais quand même assez bien l’engouement que cela provoque chez la population. J’ai rencontré il y a peu Guillaume Lepers. Je l’ai d’abord félicité d’avoir obtenu une arrivée du Tour 2024, et je lui ai demandé s’il existait une sorte de club des bénévoles pour participer à cet événement. Il m’a répondu : bien sûr, et nous sommes à la recherche de bénévoles. J’ai donc envoyé ma candidature, et j’ai été accepté. Je ne pouvais pas laisser passer l’occasion. Je sais très bien que c’est une forme de petit sacrifice de ne pas voir passer les coureurs. Je ne sais pas encore quel sera mon rôle. Mais je vivrais cette arrivée de l’intérieur. C’est une opportunité pour la ville, pour le territoire et tous ses habitants. Et cela va mettre des souvenirs plein la tête à tout le monde”.

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