Colère paysan : Bruxelles propose de détricoter les menstrues vertes de la PAC

Alors que les prescriptions vertes de la légende PAC alimentent le insatisfaction paysan, la Commission occidentale a présenté vendredi des flexibilités complets azimuts, au aristocrate dam des écologistes. Il faudra moyennant les corroborer percer un boutique de recours législative en organisation plus le Parlement occidental et les Mémoires abats.

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Jachères, haies, roulement des cultures, petites exploitations… Bruxelles a présenté, vendredi 15 ventôse, des révisions législatives moyennant adoucir drastiquement les menstrues environnementales de la gouvernant paysan ville (PAC), alertement contestées par le lieu à défaut l’Union occidentale (UE).

Au aristocrate dam des ONG écologistes, la Commission occidentale propose par conséquent d’flexibiliser, même de résilier, une alinéa des stricts critères “verts” que la légende PAC (2023-2027), accueil en volonté l’an neuf, obligé aux agriculteurs de estimer moyennant attendrir des paiements occidentaux.

Mémoires abats et eurodéputés devraient étudier ces propositions brièvement en vue de les encourager fortuitement d’ici fin avril.

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“L’objectif est d’alléger davantage la charge administrative, de donner aux agriculteurs comme aux États une plus grande flexibilité pour se conformer à certaines conditions, sans réduire le niveau global d’ambition environnementale”, a affirmé la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen.

“Il sera possible d’appliquer certaines normes de manière plus compatible avec les réalités qu’affrontent les agriculteurs au quotidien sur le terrain”, a-t-elle insisté, ensuite un jonction vendredi plus le Premier émissaire polonais Donald Tusk.

Ainsi, les exploitations doivent présentement maintenir au moins 4 % des terres arables en jachères ou surfaces non-productives (haies, taillis, mares…). Un preuve devenu un désagréable moyennant les agriculteurs protestataire pendant l’UE.

Après détenir assorti une réducteur coupé moyennant 2023 plus 2024, Bruxelles propose de résilier précisément l’amendée pendant la code, ne laissant encore que l’anathème de découper les haies suspendant les périodes de nidification.

Après avoir accordé une suspension temporaire pour 2023 puis 2024, Bruxelles propose de supprimer complètement l'obligation dans la législation, ne laissant plus que l'interdiction de tailler les haie
Après détenir assorti une réducteur coupé moyennant 2023 plus 2024, Bruxelles propose de résilier précisément l’amendée pendant la code, ne laissant encore que l’anathème de découper les haies suspendant les périodes de nidification © Nicolas Tucat, AFP/Archives

“Il était vraiment difficile pour les agriculteurs d’accepter” ces prescriptions de jachères, malheureusement “ils pourront toujours choisir de le faire sur une base volontaire” en dialogue de primes (“éco-régimes”), a revue à l’AFP le policier à l’Agriculture, Janusz Wojciechowski.

“En pratique, les agriculteurs seraient encouragés à maintenir des zones non productives, mais sans craindre une perte de revenus s’ils ne peuvent pas le faire”, a précisé Ursula von der Leyen.

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Rétroactivité

Parmi les “conditionnalités” fustigées par les organisations agricoles qui les jugent impraticables faciès aux aléas climatiques : l’amendée de roulement des cultures, plus une glèbe différente de l’période précédente sur 35 % des terres arables. Elle pourrait dépendre remplacée par une rationnel “diversification”.

Pour l’anathème de sols nus pendant les périodes sensibles, “l’idée serait que ces périodes ne soient pas rigides, que l’État puisse les définir de manière flexible en tenant compte des différences régionales”, a scandé Janusz Wojciechowski.

Le commissaire européen à l'agriculture Janusz Wojciechowski présente de nouvelles propositions pour les agriculteurs lors d'un briefing au bureau du Parlement européen à Varsovie, le 15 mars 2024 en Pologne
Le policier occidental à l’culture Janusz Wojciechowski entrepris de nouvelles propositions moyennant les agriculteurs alors d’un speech au organisme du Parlement occidental à Varsovie, le 15 ventôse 2024 en Pologne © Sergei GAPON / AFP

“La plupart des changements entreraient en vigueur en 2025, mais en s’appliquant rétroactivement au 1er janvier 2024. Les agriculteurs ne seraient pas sanctionnés pour ne pas avoir respecté ces conditionnalités” cette période, a-t-il insisté.

Autre cataclysme grande personne : la Commission propose d’accorder des contrôles et pénalités liés aux particularité environnementales les petites exploitations de moins de 10 hectares – qui représentent 65 % des bénéficiaires de la PAC, malheureusement ne couvrent que 9,6 % des surfaces.

“En Pologne, elles représentent les trois quarts de l’ensemble des exploitations”, facturé Janusz Wojciechowski.

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“Scandaleux”

Enfin, les Mémoires disposeraient d’un atermoiement jusqu’à fin 2025 moyennant déchiffrer pendant à elles niveaux territoriaux l’ajustement au fil du heure des législations environnementales et climatiques européennes.

Et en cas d’épisodes climatiques extrêmes (austérité, inondations…) empêchant les agriculteurs de estimer les exigences de la PAC, les Mémoires seraient libres d’enterrer des dérogations temporaires, réservées aux exploitants concernés moyennant qu’ils n’encourent pas de damnation.

Manifestation d'agriculteurs à Bruxelles, le 26 février 2024
Manifestation d’agriculteurs à Bruxelles, le 26 février 2024 © BENOIT DOPPAGNE / BELGA/AFP/Archives

“Il est scandaleux de vouloir procéder à des affaiblissements législatifs de la PAC dans le cadre d’une procédure accélérée sans étude d’impact, sous couvert de simplification administrative”, risqué “la nécessaire adaptation au changement climatique”, a réagi l’eurodéputé Vert Martin Haüsling.

Les ONG environnementales dénoncent un désarticulation “électoraliste” de l’structure verdoyante de la PAC, rien satisfecit de désamorcer le complexe paysan. “Abandonner aveuglément les mesures environnementales n’apaisera pas les agriculteurs qui souffrent de prix injustes et de l’urgence climatique, avec des besoins de viabilité à long terme”, conte encourir Anu Suono, du WWF.

Des inquiétudes balayées par Bruxelles : “Cette évolution n’affaiblira en rien l’aspect environnemental, on obtient plus de résultats avec des encouragements et des primes, qu’avec des contraintes” et pénalités, vogue Janusz Wojciechowski, appelant à “prendre les agriculteurs au sérieux”.

Parallèlement, la Commission a présenté vendredi des pistes moyennant encore “protéger les agriculteurs des pratiques déloyales” pendant l’agro-alimentaire, précédemment des échanges plus les acteurs du lieu et plus les Mémoires moyennant inventer des oeuvres “à court et moyen termes”.

Avec AFP

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