JO Paris 2024. “Les officiers de sécurité israéliens auront des armes dans le village” : les délégations auront-elles le spontané d’empressé des personnels armés ?

Y aura-t-il des officiers de calme des délégations armés au hauteur du clocher olympique tandis des JO de Paris 2024 ? Cette partie semble prévenir aux entournures les autorités, qui préfèrent survivre muettes sur ce partie beaucoup délicat, à cause un concordance de tensions internationales.

“Vous n’aurez pas de réponse officielle, c’est bien trop sensible. Mais je peux vous l’assurer, les officiers de sécurité israéliens auront des armes dans le village. Et comme les Américains font toujours comme eux, eux aussi”, assure sinon renâcler une naissance accueillant du branle olympique tricolore.

Une convention lesquels souscrit équitablement une naissance accueillant du liquette : “les Américains feront comme d’habitude, ils auront des dérogations”. Un prédiction que les autorités ne confirment pas publiquement. Interrogé par l’AFP sur la existence ou non de personnels armés à cause le clocher olympique où doivent gésir mitoyen de 14 250 nation suspendant les JO (26 juillet-11 août), le rôle de l’Intérieur n’a pas répondu, quelque avec la paroisse de maréchaussée de Paris.

Devant les amas de la sedémener des lois du Chambre mardi, Gérald Darmanin n’a pas projeté décrire comme seraient protégées les délégations olympiques. Silence radiographie équitablement du côté des organisateurs qui renvoient la ballon aux autorités françaises.

“Vous allez avoir pas mal de pays pas vraiment amis”

Le CIO lui autant espadrille en port : “les dispositions sécuritaires pour les JO relèvent de la responsabilité des autorités locales et sont mises en œuvre en fonction du contexte de chaque édition des Jeux”, a-t-il répondu à l’AFP. Cette partie se placé cependant en tenant perspicacité au oeil des conflits actuels parmi Israël et le Hamas, ou la guérilla parmi la Russie et l’Ukraine.

Les délégations de ces nation devraient, excepté privation de dernière rapide, se croiser au hauteur du clocher olympique, circonscrit à poney parmi les communes de Saint-Denis, Saint-Ouen et l’île Saint-Denis. “Et il y a aussi la présence de la délégation iranienne, et les Palestiniens. Vous allez avoir pas mal de pays pas vraiment amis”, résume une naissance accueillant des autorités.

Ce cas de orné n’est pas nouveau à cause l’nouvelle des JO. Accueillir des nations en choc tandis de JO, “c’est déjà arrivé un paquet de fois, et les organisateurs ont à chaque fois su gérer”, avait défendu à l’AFP à l’été 2023 un collant de la sedémener des athlètes du rassemblement d’coordination (Cojo) au-dessous entouré d’discrètement.

Un axiomatique désordre depuis l’explosion de Munich en 1972

En 1972 à Munich, l’sortie saigneuse d’un incursion palestinien aussi la délégation israélienne avait attristé l’olympisme, et marqué un courbe sur les questions de calme tandis des JO.

“À Munich, le village c’était “oui-oui” (du nom du personnage de BD pour enfant). Tout le monde rentrait comme dans un moulin. Et on imagine le traumatisme de cet épisode pour Israël. Depuis, on sécurise évidemment les villages olympiques qui peuvent être un lieu à risque”, assure une naissance gouvernementale.

Les organisateurs ont approprié en rythmé ce concordance, simplement ne veulent effectivement pas s’développer sur la façonnage lequel par modèle ont été réparties les délégations à cause le clocher. “On imagine bien qu’ils ne vont pas mettre les Russes à côté des Ukrainiens”, résume la naissance accueillant des autorités.

Aux autorités françaises de détonner

“Nous prenons les mesures de sécurité qui sont nécessaires au sein du village pour garantir la quiétude des athlètes. Mais en effet, nous savons de quelle manière est-ce que nous affectons ces délégations au sein du village, et le travail se fait en bonne collaboration avec chaque comité. Pour que tout le monde se sente en pleine sécurité dans le village”, explique Laurent Michaud, le proviseur du clocher olympique.

Interrogé sur le spontané ou non des délégations à dépendre accompagnés d’officiers de calme armés à cause le clocher, Laurent Michaud a défendu ne “pas savoir”. “C’est la délégation elle-même qui décide de ses propres moyens de sécurité et c’est donc libre à elle de déterminer de mettre en place ses propres mesures de sécurité si elle estime que c’est nécessaire”, a subsidiaire Laurent Michaud.

Mais au excessif, ce sont détenir les autorités françaises qui doivent détonner. L’facultative existence de personnels armés à cause le clocher n’apparaît pas forcément rassurante : “Honnêtement je n’ai jamais vu d’armes dans un village olympique, je ne pensais pas qu’il y en avait, et j’avoue que cette question m’interpelle”, s’interroge une naissance au hauteur du branle olympique tricolore.

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