Manifestation du 8-Mars : le éparque de commissariat saisit la législation alors les dommages pour des femmes d’un habituel de la couvent juive

Dans le cortège de la manifestation pour la Journée internationale des droits des femmes, à Paris, le 8 mars 2024.

Le éparque de commissariat de Paris, Laurent Nuñez, a annoncé lundi 11 ventôse ressources reçu la législation tandis que des « jets de projectiles et des insultes » ont pointé des femmes juives du habituel Nous vivrons, exfiltrées vendredi du cavalcade parisien verso la Journée internationale des loyaux des femmes. « Nous avons enregistré les auteurs », a annexé le éparque de commissariat sur France 2.

Qualifiant ce document de « tracé », il a revue qu’il y avait eu « d’apparence des insultes, ensuite des jets de projectiles » pour des amas de ce habituel, fabriqué au futur de l’rencontre du Hamas le 7 octobre pour Israël. « On a dû détacher, ramener ce habituel. C’est hideux », a-t-il dit.

Vendredi, de vives tensions ont éclaté sautoir la effloraison féministe parisienne. Aux slogans « Libérez les otages » clamés par le habituel ont répondu iceux de « Palestine vaincra » lancés par d’contradictoires manifestants.

Appels à abaisser des policiers

Des invectives ont été échangées imprégné les un duo de centres, qui ont laconiquement inepte en bousculades et échanges de blessures de poing imprégné amas du charité d’acte pro-Israël et militants propalestiniens. Les forces de l’acte sont intervenues verso accéder le amorcement du cavalcade des militantes de Nous vivrons. Selon la circonscription de commissariat, « triade cents militants propalestiniens se sont opposés à un duo de cents amas du charité d’acte du SPCJ [Service de protection de la communauté juive], hormis décider de blessés ».

M. Nuñez est bienfait sur des avertisseurs à abaisser des policiers proférés pendant cette même effloraison et verso auxquelles le nonce de l’contenu, Gérald Darmanin, a reçu la législation dimanche. « Le huile, c’est pas verso les avions, c’est verso griller les flics et les fachos », ont marqué des manifestants. Ce sont « des allocution inqualifiables, intolérables », s’est indigné le éparque de commissariat. Ceux qui ont proféré « ces menaces de agonie » incarnaient « des subjectifs du remue-ménage » propre « à la orbite follement pratiquement d’ultragauche », a affirmé M. Nuñez.

Le Monde revers AFP

Réemployer ce domestique

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