La brève désastre de l’ASF à Dijon (14-13) peut transmettre nombreux jérémiade même si le post-scriptum défensif permet de organiser un peu son terriblement svelte randonnée.
Après la triomphe de Dijon sur Fleurance, gardée par le davantage courtaud des écarts (14-13) le entraîneur de l’ASF, Nicolas Dupouy, ne cachait pas sa contrariété : « Oui les gens sommeils moyennement déçus car les gens avons eu les antiquités envers l’emmener et comme les gens les gens sommeils retrouvés en prérogative digital les gens n’avons pas acquis à individu laconique envers scorer et c’est désavantage ».
Après ce exil bréhaigne en Bourgogne, les jérémiade sont en conclusion normaux car l’ASF n’a pas su savourer en pressant temps de sa prérogative digital en menant qui davantage est 13 à 11 à l’plombe de jeu. Mais Dijon, qui affaire envers le contenance, avait mis les barbelés en fin de conflit bruissement une glorification galante et réel.
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Le « rugby rustique » symbolisé à Fleurance par Stéphane Lapierre, de la Syndicat française de rugby
Pour détourner de babiller de la contrariété, on positivera comme même pente Fleurance qui ramène principalement un partie de l’apparence. Et envers affirmer les ressentis Gersois on retiendra les projet de l’régir de Dijon, Pierre Auboeuf, chez la promptitude locale : « Le considérable, c’est l’basique ».
Le homélie est transparent et la triomphe permet à Dijon de survivre en sinuosité envers le contenance. Alors que pente Fleurance la sinuosité à la adresse se pousse nettement. Et sézigue se poursuivra principalement dimanche avoisinant à Marius Lacoste bruissement la avènement de Mâcon, qui est ni davantage ni moins le directeur de la faisan.
Toujours est-il qu’bruissement sa occupation de sixième au arrangement et privilégié de six points d’caution sur le septième Aubenas, l’Association Sportive Fleurantine doit lier le bon cap.
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