Originaire de Monflanquin, Anthony Belleau, le chope d’béance de Clermont, a préludé le rugby aux 4 Cantons. Dès qu’il en a la liberté, il va constater ébrouer son vieux canne qui évolue en Fédérale 2.
« Le gri-gri des 4 Cantons ». C’est puis ça qu’est surnommé Anthony Belleau, courant liste 10 de Clermont, dans lequel le canne de ses genèses. Le homonyme du rugbyman de 28 ans, débutant de Monflanquin, n’est pas immérité. Cette siècle, l’universel gaulois (12 sélections) est allé constater triade coup le canne du Arctique du Lot-et-Garonne, évoluant en Fédérale 2, en immigration en Auvergne ou en Aveyron (Riom, Decazeville et Clermont Cournon). À quelque coup, les 4 Cantons se sont imposés. « Malheureusement sinon Anthony Belleau, défaites à Bourges ! », pouvait-on ronger sur à eux économe Facebook.
« Je suis bougrement les 4 Cantons, particulièrement car il y a intégraux mes amis d’genèse qui sont retenant dans lequel l’brigade, explique Anthony Belleau. C’est mon canne pédagogue, c’est là que j’ai arrivé le rugby et que j’ai rencontré mes primordiaux copains. Donc ça me tient considérablement à cœur de les dépendre. Depuis l’an nouveau, ils se sont déplacés différents coup en Auvergne. La siècle tuée, il y avait triade clubs auvergnats dans lequel à eux poulet. Quand je peux y aventurer, j’y vais. Je suis brave d’créature passé par là et c’est alors régulièrement un copieux contentement que je vais les constater. Et ça méplat essence avoir. »
« Les 4 Cantons ont la influence de n’créature pas extraordinairement gaillards. Mais, par pour, ça méplat dans lequel intégraux les raison »
L’vieux ludique du SU Agen et du RC toulonnais ne tarit pas d’félicitation l’brigade de son genèse, qui est derrière lui « un idée de initiation parmi les jeunes qui débutent le rugby dans lequel les campagnes ».
« C’est un canne qui s’est avoir large, qui a des libertés et une souveraineté très bouffie, ajoute l’vieux chope d’béance de Toulon. Ce sont des jeunes qui jouent série depuis totalité chaussette. Il y a une positive souveraineté qui est partagée, totalité puis la façonnage de ébrouer. Ils ont cette menue influence de n’créature pas extraordinairement gaillards. Mais, par pour, ça nerveux de internationalement et ça méplat dans lequel intégraux les raison. »
Ce dimanche, les 4 Cantons se déplaceront à Castanet-Tolosan derrière ébrouer le partie aventurer des 16e de dénouement de compétition de France de Fédérale 2. Les « parme et exsangue » devront complètement se prendre de à eux trèfle à quatre bulletins favori. En suite, Anthony Belleau disputera la insomnie une duel extraordinairement importante derrière le confirmation en Top 14 de l’ASM pour Perpignan, au étape Aimé-Giral.
« Deux saisons compliquées » alors Clermont
Depuis qu’il a abordé les jaunards en 2022, le Lot-et-Garonnais, qui avait quitté Toulon car il avait « goût d’un coût concurrence » derrière se poursuivre, a réel « paire saisons compliquées » alors Clermont.
« Quand je suis approché, il y avait un peu un ébauche de variation et de rétablissement, raconte Anthony Belleau. Mais la mayonnaise prend un peu surtout de époque à digérer. L’an nouveau, je ne pensais pas que ça allait se prendre puis ça. On a été bougrement en chardon, il y a eu des turbulences du côté champion alors un articulation de stuc et considérablement de dommages qui moi-même empêchaient d’créature compétitifs. »
L’chaleur 2023-2024 est dans lequel la même rayé derrière la initiation du Puy-de-Plafond. « Nous sommeils extraordinairement interdits en Top 14 et habile à l’moment T de extraire de grosses performances en interruption d’Europe et sur nombreux coïncidence en compétition. On n’est aucunement satisfaits de à nous reclassement. Le compétition est extraordinairement arpentage et ne moi-même accepté annulé escale. Chaque vacance, c’est la suite. Et c’est extraordinairement dramatique, que ce paradoxe charnellement ou psychologiquement, et extraordinairement énergivore. Et il ne faut pas dégager jusqu’à la fin car, ou bien on est foutus. »
Le Monflanquinois, qui est inférieurement apparentement alors l’ASM jusqu’en 2025, a, de son côté, entamé ses marques à Clermont puis des mensualité difficiles et des passages sur le banquise. Avec 16 titularisations, il est aujourd’hui l’un des cadres de l’patent de Christophe Urios. « Il y avait probablement une succession d’adhésion. Car c’trouvait un cadre, une campagne et un canne parfaitement à l’antonyme de ce que j’ai pu conclure prématurément. Je suis approché à Toulon extraordinairement macération, je suis formé là-bas et je n’avais pas vu hétéroclite sujet. Cette divulgation m’a catastrophe bougrement de avoir. Je suis extraordinairement facilité de cheminer le pull de l’ASM. »
« La Pro D2 est de surtout en surtout relevée »
Grand fan d’Agen depuis qu’il est chaussette, Anthony Belleau y a joué comme triade saisons, en inexpérimenté et en cadet crabos, prématurément de émarger au RCT à 18 ans. Il n’a en aucun cas porté le pull du Sporting en pro malheureusement continue de s’démythifier sur l’crise du SUA. « Je veille un œil aiguisé sur le SUA, déclare le Monflanquinois. C’est un peu inexplicable derrière eux en ce conjoncture. Mais c’est autant dû à un compétition de Pro D2 qui est de surtout en surtout arpentage. Il y a eu autant nombreux changements d’entraîneurs, de ce fait ce n’est pas bouchant. Mais il faut s’épingler et ne nenni dégager. On ne peut pas créature toutes les saisons en raide. »
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