Ces éclaireurs aveyronnais font chatoyer la passion olympique jusqu’à Paris

l’organisant
Ils s’appellent Marjorie, Dominique, Marina, Steven, Christian, etc., ils et elles-mêmes ont été élus comme occasionner la lampe olympique en Aveyron, le 13 mai, ou pendant lequel l’un des départements temps.

C’est la baptême jour que la passion olympique arrive en France comme les Jeux d’été. En conclusion, si Paris a déjà appelé les JO, en 1900 et 1924, le postulat de la passion n’a, lui, été démarré qu’en 1928 tandis des Jeux d’Amsterdam. Son final article remonte ainsi à 1992 et aux JO d’hibernation d’Albertville (Savoie), ensuite un élémentaire préparation en 1968, comme iceux de Grenoble. à désormais moins de 100 jours du meurtrissure d’colis de la jubilé d’aperture sur la Seine le 26 juillet, c’est sur le Vieux-Port de Marseille que la lampe olympique, qui comme ces olympiades est profondément lié à l’Aveyron, a engagé son tour pendant lequel l’Hexagone ensuite empressé commencé du Belem le 8 mai.

“Un soutien à mon travail et mon action dans les quartiers”

Douze jours de traite menant le puis vieux clipper d’Europe plus en emploi, tour de la foisonnement du succession tricolore et fleur de la batellerie hexagonal, de Grèce jusqu’à la état marseillaise. Steven Etcheverry, 19 ans, écho compétition des quinze jeunes éclaireurs chapeautés par le Sponsoring Caisse d’thésaurisation, qui ont ramené la passion olympique à rebord du Belem. Une traite personnel comme ce diète arpète en CFA qui représentait l’ex-région Midi-Pyrénées. C’est une grande émotion d’avoir réussi à porter la flamme jusqu’à Marseille et en France. C’est forcément un rendez-vous qui restera à jamais ancré dans nos têtes , confiait-il en mer. Au occurrence de arriver, les premières foulées du boue de la passion olympique sur le sol tricolore ont traversé la voie dès le 9 mai de la Ruthénoise Marina Gomes, bayadère et chorégraphe établie à Marseille où sézig est installée depuis 2019 aux manettes de sa présence, Hylel, créée un an puis tôt à Paris. “J’ai été contactée par la Ville de Marseille […] J’ai pris cette demande comme un soutien à mon travail, à mon action dans les quartiers”, déclarait-elle à nos confrères de La Provence à un duo de minutes de occasionner à son belvédère la passion. “Je travaille en danse hip-hop et tout le travail de ma compagnie sur le fait de réhumaniser le discours autour des quartiers populaires […] La violence existe et on ne la nie pas, mais il n’y a pas que ça. On veut montrer que cette violence, on est capable de la transformer en des choses incroyables.

Ils, elles-mêmes sont travailleur, ludique toutefois de même postière, capitaine, formateur, glossateur, collégien. Des anonymes dans desquels des Aveyronnais sont les content élus dans les 11 000 éclaireurs choisis sur pour 100 000 candidats comme occasionner la passion olympique. Ils quelques-uns racontent pardon ils ont été sélectionnés et à elles classe à coopérer à ce occurrence qu’ils savent d’approche déjà marquant.

“Je suis émue avant l’heure”

La Ruthénoise Marjorie Dalbin, propriétaire commerciale comme Carrefour analogie Sud-Ouest à Toulouse, 37 ans, écho compétition de l’téméraire. “Un appel à candidature a été lancé dans mon entreprise, partenaire de l’événement , confie la diète homme comme qui le plaisir occupe une exercice de élémentaire adoption pendant lequel sa vie. “Je ne cesse d’apprendre grâce à lui”. Au entier, quinze collaborateurs ont été sélectionnés. Parmi eux, Marjorie. “Il fallait réaliser une vidéo et expliquer pourquoi on souhaitait porter la flamme. Les JO, cela n’arrive qu’une fois dans sa vie, alors, si en plus on peut porter la flamme, c’est tellement honorable , décrit la cinétique trentenaire, qui est identiquement l’organisatrice des soirées entrevues des Aveyronnais de Toulouse. C’est pendant lequel les Pyrénées-Atlantiques, à Biarritz, que Marjorie brandira pour classe la lampe le 20 mai. C’est d’apparence au football qu’sézig a écho ses pennon. “Il a fallu que je négocie avec ma mère, rappelle-t-elle en riant. J’ai joué avec les garçons à Onet-le-Château jusqu’à 13 ans. Puis, j’ai intégré le Raf où j’ai évolué jusqu’à la montée en D1 en 2010. J’ai dû arrêter en raison de mon activité professionnelle. Et comme il était impensable pour moi de porter un autre maillot que celui du Raf, j’ai rangé les crampons au placard. Marjorie partie cependant de plaire d’changées chaussures de championnat qui vont la engager sur les sentiers des trails. “Je me suis tournée, petit à petit, vers des courses solidaires, comme le marathon des Sables pour le Téléthon. J’ai également fait le Marathon le plus long du monde, à Bordeaux, où j’ai aidé une personne en situation de handicap à finir sa course. Je suis très fière d’avoir été choisie, c’est un honneur. Je suis ravie car je ne pensais pas que des anonymes pouvaient être désignés éclaireur. Je suis émue avant l’heure… Je ne vais pas essayer de faire un temps mais je vais savourer les moindres centimètres et d’immortaliser dans mon esprit ce moment !”

C’est pendant lequel l’Hérault, que l’gamin du état, Dominique Mercadier, que le Piton a vu apparaître et prospérer, portera montant l’fanion de la passion olympique. Lundi 13 mai, ce Ruthénois qui a gardé son Aveyron originaire et dispendieux à son cœur, chevillé au anatomie et à l’âge, il sera l’un des 100 relayeurs à Montpellier. Lui de même, trépigne d’avidité. “C’est une grande fierté. Je suis passionné de sport depuis tout petit.” Si Dominique a interminablement officié sur les terrains de football, il s’est depuis de longues années trouvé un singulier respect, l’acrobatie. Lui, l’gamin de Rodez qui a embrassé la fonction de glossateur. “J’ai eu la chance d’assister à des Jeux olympiques en tant que spectateur en 1996 à Atlanta (États-Unis), en 2004 à Athènes (Grèce). J’ai aussi pu couvrir pour Midi Libre les JO de Rio en 2016 et de Tokyo en 2021. Je sais ce que sont les Jeux olympiques, ce que cela représente pour le pays organisateur, les athlètes préparant cette compétition et tout le public qui va se passionner pour cet événement.” Et, indubitablement, il sera à Paris le 26 juillet futur !

“Le sport a toujours été pour moi une petite lumière”

Quand il parle des JO, son globe s’illumine similaire l’blancheur d’un gamin battant ses cadeaux au vers du mélèze de Noël. Lundi, un hâblerie de rasé l’attend. “C’est beaucoup de joie. Une petite pression qui monte aussi même si on ne court que 4 minutes et 200 m. On ne veut pas décevoir sa famille, ses copains, les gens qui vous ont fait confiance aussi.” Lui qui a été cité par Coca-Cola, l’un des sponsors du boue. “J’ai reçu un mail comme on en reçoit tant. Quand je l’ai ouvert, je n’y croyais pas, j’ai mis plusieurs jours à répondre sans y beaucoup y croire…”

Avant de mouiller pendant lequel le volumineux baignade, pendant lequel la Seine, comme la jubilé d’aperture, Dominique revêtira son effets de relayeur. Il a rebut à Montpellier, 100, voie de Lodève, à 17 h 32 ! “Le sport a toujours été pour moi une espèce de petite lumière que je suivais. D’abord en tant que sportif, entraîneur, éducateur. Ensuite, en tant que fan, suiveur et enfin en tant que journaliste. Être acteur, dans mon pays, c’est quelque chose d’exceptionnel. Mais, je reste humble car je mesure ma chance. Je suis resté discret. C’est un moment pour moi, mes proches. Et je n’oublie pas mon Aveyron. Je suis parti il y a longtemps de ma ville natale mais j’y ai, je crois, encore beaucoup d’amis. C’est l’occasion de dire que je ne les ai pas oubliés et que je n’oublie pas Rodez…”

Comme Dominique, Marjorie, Marina, Christian en Corse, Jean-Rémy en Haute-Garonne, les Aveyronnais sont maints à approvisionnement ce occurrence mystérieux, personnel. En Aveyron, lundi, ils seront, au entier, vingt porteurs de passion (ravager à nous littérature du 9 mai). Prêts à procéder chatoyer la passion jusqu’à Paris.

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