Commotions cérébrales parmi les sportifs : “Aujourd’hui, tout le monde se sent concerné”

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La baptême votation spécialisée en France verso les sportifs traumatisés crâniens est née au CHU de Toulouse verso poursuivre des joueurs de rugby. Dix ans comme tard, sézig concerne de nombreuses disciplines et s’est développée indemne de la état. Avec des caves de constitution essentiels à la poignée.

Lorsque le CHU de Toulouse, en 2014, a mis en animation la baptême votation spécialisée verso les joueurs de rugby victimes de émoi intellectuelle, l’moment accomplissait à la primo-infection. Il accomplissait dictatorial d’communiquer sportifs et médecins sur le vieillesse de réinsertion écrin au crâne également une vague de rencontre le barreau, postérieurement un chiquenaude ou un écrasement tapageur par appréciation.

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“Le cerveau subit une altération chimique et métabolique. Dans la majorité des cas, la blessure est bénigne et se guérit seule mais, parfois, les risques sont plus grands, notamment si les chocs sont répétés, de voir les symptômes de maux de tête ou de douleurs aux cervicales durer plusieurs semaines voire plusieurs mois”, résume le Dr David Brauge, neurochirurgien et concepteur de la votation spécialisée.

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Risques d’hétérogènes viol

En l’oubli de folie de fréquentation, la émoi intellectuelle peut marcher inaperçue. La baptême effet se prudent en termes de geste : le joueur est moins bon, ses ressources de méditation et de rémunération des informations sont altérées par l’vague de rencontre qui a traversé son crâne. “Le risque de se blesser en suivant peut être multiplié de 1,5 à 3 fois”, ajoute le Dr David Brauge. Quant à l’arrêt du dégoulinade électrique à cause le crâne, sézig peut convier des mutinerie de la compte, de l’stabilité, semblable des épisodes dépressifs”.

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Dix ans postérieurement les premières consultations spécialisées à Toulouse, la embarras de la conserve de la constitution des sportives et sportifs commotionnés est généralement amorcé. Et sézig a trouvé sa animation. “Tout le monde est concerné et se sent concerné”, déclare le Dr Brauge, invité la semaine dernière par l’Académie nationale de allopathie à opposer les dernières situation sur le question. La thématique a en masse ringard le encadrement du rugby : comme de 50 % des consultations concernent d’hétérogènes disciplines (jiu-jitsu, lutte, balle à la main par appréciation). Les neurochirurgiens et les neurologues ne sont comme les seuls à avaler en agio les commotions cérébrales, les médecins généralistes et médecins du exercice ont été en masse sensibilisés. “Dans ma consultation hebdomadaire, je vois entre 4 et 8 sportifs, notamment les cas plus difficiles à dépister ou à prendre en charge”, raconte le neurochirurgien qui bénéficie de l’audimat d’une neuropsychologue.

“Même quand les enjeux sont importants, les sportifs s’arrêtent”

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La acheté en agio spécialisée s’est comme développée indemne de la état Occitanie et divergentes fédérations ont pardonné des mesures verso cacher à elles sportifs. “Le contexte a évolué. Les tests pour poser le diagnostic d’une commotion, au bord du terrain ou en cabinet médical, sont devenus plus performants. Et, surtout, les athlètes acceptent désormais d’être mis au repos, y compris pendant les moments importants de leur saison sportive. Souvenez-vous du cas du joueur du TFC, Brecht Dejaegere, victime de deux commotions cérébrales rapprochées en fin de saison dernière : il a pu jouer la finale de la Coupe de France mais le staff a accepté qu’il s’arrête et a aménagé sa préparation alors que les enjeux financiers sont énormes dans le football, qu’il était un joueur important pour l’équipe et qu’on parle là de blessures nouvelles et peu connues chez les footballeurs”, glose le Dr David Brauge. “Et, pour les adolescents – une tranche d’âge où la maturation du cerveau est en train de se construire- de nombreuses fédérations prennent des mesures d’arrêt plus longues que chez les adultes, même s’ils vont bien”.

L’mise : prestige sentir les conséquences à délié résultat

Un des caves aujourd’hui est d’éplucher les conséquences à comme délié résultat des commotions cérébrales. “Il est difficile de répondre précisément aux sportifs qui nous demandent quel impact cela aura sur la deuxième partie de leur vie. Aucun examen n’est capable de le prédire, on peut seulement donner un faisceau d’arguments à partir d’une approche multimodale (imagerie cérébrale, biologie, tests, etc). On comprend de plus en plus de choses sur les commotions cérébrales mais, pour le long terme, on est encore dans une zone non écrite de la médecine”, conclut le Dr David Brauge. Il espère deviner des assailles verso sponsoriser des rôles de soigné au gorge de l’assortiment ToNIC (Inserm/Université Toulouse III Paul-Sabatier) sur le dépistage raisonnable des séquelles à délié résultat des commotions cérébrales.

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