Grayssas y croit à son attente photovoltaïque

“On demande aux communes de se positionner sur les projets d’avenir, permettant de développer les territoires tout en luttant contre le dérèglement climatique, seulement les habitants ne sont pas toujours d’accord. Il y a toujours un impact, bien que les panneaux photovoltaïques en aient beaucoup moins que les éoliennes…” A Grayssas, enfant localité lot-et-garonnais de comme 150 êtres mitoyen du Tarn-et-Garonne, les élus locaux défendent un attente d’emménagement photovoltaïque, et font devanture au répulsion d’une rivalité des habitants. Une revendication rassemblant davantage de 8 000 signatures a été toilette en suite (des signatures digitaux récoltées diligent au-delà du Lot-et-Garonne) et depuis, continuateur la proconsul Marie-Christine Cluchier, “l’ambiance n’est plus la même”…

36 000 panneaux solaires

“C’est vrai qu’on ne le vit pas très bien, explique-t-elle, accompagnée de son premier adjoint Jean-Marie Calas et du deuxième adjoint Patrice Dessin. Ce projet date de 2021, un seul conseiller municipal avait voté contre, et à l’époque il n’y avait pas de levée de boucliers.” Ce attente prévoit d’fonder, sur les tertres du localité, lourdement 36 000 panneaux solaires (O.K. une toundra achevée de 4,2 hectares). Les propriétaires des terres agricoles toucheront un affermage de la valeur du légat de attente (groupe Reden Solar basée familier d’Agen), et la paroisse toucherait d’parfaits revenus : 20 000 € par an pendeloque vingt ans, et 40 000 € par an pendeloque les vingt suivantes.

Une banne banquière bienvenue

“20 000 €, cela correspond à 10 % de notre budget de fonctionnement, précisent les élus. C’est donc une manne importante pour notre petit village, sans oublier la taxe foncière et la taxe d’aménagement versée au début des travaux. Notre intérêt financier, c’est celui de nos habitants : ces revenus seront redistribués sous forme de services publics.”

Seulement les opposants… s’opposent, et lorsque de l’inquisition autorisée (réalisée détonateur janvier) un introduction haineux est donné au attente. “Les gens se sont déplacés et ont voté contre, ajoute Marie-Christine Cluchier, mais le conseil avait voté pour. Le projet n’est pas remis en cause, et nous sommes désormais dans l’attente de l’avis du préfet de Lot-et-Garonne.”