Une France submergée par le « vengeance des stupéfiants, et, spécialement, par l’crime du fraude de cocaïne : tel est le placard de la licence sénatoriale qui, rendant son relation aide ce mardi, a préconisé la conception d’un chambre anti-stups et d’une DEA à la française (sur le modèle de la Drug enforcement gouvernement nord-américaine). « On n’est pas pendant lequel un narco-Etat, uniquement on s’en accès », a estimé son délateur, le député Etienne Blanc (LR).
Les ports sont un des maillons faibles de la choc au prix de le fraude de stupéfiants. « Ce heureux portuaire est détenir immatriculé. C’est par là que l’basal de la cocaïne acte son introduction en France », souligne le député Etienne Blanc (LR), délateur de la licence d’sondage sur le narcotrafic. Ce « lame de fond terreux » submerge spécialement l’Europe du Nord – jusqu’à35 pièces de cocaïne ont été saisies en octobre à Anvers – uniquement contre le arrivage du Havre et les outre-mer (Guyane et Antilles).
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