Mobilité : Le envoyé Alain Marc s’conduit les foudres de la Préfecture

l’ingrédient
Après ses plaidoirie sur le train, la Préfecture a possédé à référer par la avis du capdenacois Stéphane Bérard.

Omniprésent la semaine dernière parmi le Sud-Aveyron, le envoyé Alain Marc a multiplié les déclarations. L’une d’elles-mêmes, a discret l’assiduité de la Préfecture et aventure s’supplicier quelques de ses élus fâchés, quant à le preuve de ce fait, des plaidoirie du propriétaire du Palais du Luxembourg au objet des mobilités en Aveyron. Invitant les maires du endroit à l’escorter sur la défilé ferroviaire Béziers-Neussargues, Alain Marc avait jugé en essence qu’en abord de la défilé Béziers-Neussargues, l’offrande ferroviaire aveyronnaise ne se résumait qu’au valise Rodez-Paris.

“Alain Marc oppose le ferroviaire au routier”

“C’est réducteur pour ne pas dire totalement erroné”, tonneau l’élu siège et juge de Capdenac-Gare Stéphane Bérard, pilon de la rude Mobilités et Infrastructures. “Il y a autour de Rodez une desserte ferroviaire très dense notamment vers Toulouse ou Figeac avec un cadencement de sept allers-retours quotidiens.” En Aveyron mardi quant à “faire la promotion de la ligne”, en plaidant surtout quant à un amélioré régularité, le envoyé estimait en retour que “recréer des lignes de train”, alors l’envisage adéquatement la Préfecture quant à le portion compris Rodez et Séverac, “serait de la folie économiquement”, suggérant préférablement “des bus à hydrogène avec huit ou dix allers-retours quotidiens”. Une maxime qui, là mieux, jure pile les ambitions régionales. “Nous sommes tout à fait conscients que nous ne pourrons pas offrir toutes les dessertes. Que notre territoire ne sera irrigué qu’avec de l’intermodalité, en développant le routier quand nous ne pouvons pas faire autrement : la mobilité est effectivement une addition de solutions qui doivent s’articuler en cohérence sur l’ensemble de l’Occitanie. Il n’est pas question d’opposer le ferroviaire au routier comme semble le vouloir Alain Marc”, résume Stéphane Bérard.

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