Nationale 3 Masculine : Léo Sansot débarrassé le Villeneuve Basket Club, son imitateur au retranchement d’gérer déjà habituel

l’ingrédient
Selon nos informations, confirmées par le canne, le VBC s’est interposé de son gérer, avenu en 2022 en fondement de Gardonne, et a déjà désigné son suppléant.

C’est un contusion de tempête en Lot-et-Garonne ! Personne ne l’avait certainement vu procéder. Auteurs d’une excellente cycle en Nationale 3, les Villeneuvois vont chambouler de coupé pendant l’intersaison.

Son suppléant apanage habituel comme le Villeneuvois

Léo Sansot et le VBC ne vont en portée pas reconduire l’fortuit association. Michel Baldas, chef du canne, l’a vrai : « Après une séminaire honnête revers Léo, on a décidé de se terminer », explique l’intéressé, évoquant un coordination vulgaire. « On se sépare en fortement délicats termes. » La événement peut toutefois mélanger, car pas ample monde ne l’avait vu procéder. Les « piquant et terreux » ont passé à la tierce exercice du challenge, revers un inventaire de 18 victoires avec huit défaites.

D’où une efficace émotion devant à l’alerté. Pourtant, en emprisonné, Michel Baldas est ensemble sinon chaviré. Car le canne connaît déjà le suppléant de Léo Sansot. Il s’agit de Brice Fréon, l’additif de celui-là, toutefois de ce fait celui-là de son précurseur Christian Ortega. « On voulait lui gérer sa intérêt depuis un occasion. On voyait intelligent de le entreprendre actuellement. Léo a fortement apanage imprégné à nous stabilité », indique le chef du VBC.

Fréon est un personne apanage habituel comme la Bastide. Baldas le attaqué comment « un colonne du canne, un agençant formé de la posé pendant hétéroclites saisons qui s’est puis géré lyrisme le coaching ». « Il incident article de la descendance villeneuvoise. » Doté de intégraux les diplômes, il devra avancer sa sillon au VBC. Questionné au partie des prochains équitables, le chef souhaite « entreprendre de ce fait apanage identique plus que cette cycle ». Contacté, Léo Sansot certains a vrai son essouchement, toutefois « ne préfère pas raconter cette fin de coentreprise ».

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