Dans un reprise qu’il accorde ce vendredi à Midi Olympique, Didier Codorniou officialise sa demande envers l’nomination à la gouvernement de la FFR. En revoilà les température forts.
Son nom voyait continuellement rappelé, ceux-là salaire, envers une demande à l’nomination envers la gouvernement de la FFR qui se déroulera le 19 octobre 2024. Jusqu’ici, Didier Codorniou avait cependant tenu le caché, démonstratif réellement créature “en phase de réflexion”. Cette coup, il se javelot publiquement. L’antique trois-quarts attachement du XV de France (31 sélections dans 1979 et 1985) le confirme, pendant un reprise qu’il accorde ce vendredi à nos confrères de Midi Olympique : “Nous nous engageons bel et bien dans la course à l’élection à la présidence de la FFR. J’y vais pour fédérer et gagner.”
Cette raconté, il l’a faite depuis le échelon de Gruissan, canton du parage audois lequel il est élémentaire et édile depuis 2001. “J’attache beaucoup d’importance aux symboles et le lieu de cette annonce, ici sur le stade de rugby de Gruissan où nous nous trouvons, est chargé d’histoire, d’émotions pour moi. C’est à Gruissan, en catégorie benjamins, que j’ai découvert ce formidable sport qu’est le rugby. Là où ma carrière a commencé avant de m’amener à Narbonne, Toulouse, Villefranche-de-Lauragais. Je tenais à ce que ma déclaration de candidature se fasse dans ce lieu car le rugby est par essence un sport de transmission.”
Une suffrage malgré des clubs
Cette raconté faite, Codorniou en dit un peu alors sur l’constitution de sa glèbe électorale. S’il confirme qu’il ira caractéristique à la bataille des clubs amateurs pendant les salaire à apparaître, celui-là qu’on surnommait “Le Petit Prince” souhaite d’voisinage en marcher par une suffrage de ces 1800 clubs. “Dès ce vendredi, mon équipe va donc faire parvenir à l’ensemble de ces clubs un questionnaire d’une quinzaine d’interrogations, pour connaître leur sentiment et leurs doléances. L’idée est d’enrichir notre projet et même notre équipe. Je suis très attaché à la démocratie participative.”
Il en profite impartialement envers présager une glèbe consciente apte, hormis brutalités bas. “Je ne suis pas dans la polémique et je ne le serai pas, je l’ai d’ailleurs dit il y a quelques semaines à Florian Grill et nous nous rejoignons sur ce point. Je préfère défendre nos propositions, notre vision. Je refuserai de répondre aux attaques personnelles. Pour moi, un président doit être au-dessus de la mêlée.”
Avec Jo Maso, Jean-Pierre Rives et Guilhem Guirado
À l’fortune de cet reprise, il tract impartialement les primordiaux noms qui figureront sur sa facture et ses cales. Parmi eux, Jo Maso et Jean-Pierre Rives, qui seront co-présidents de son assemblée de carcasse désigné “100 % Rugby”. “Ils m’ont dit oui tout de suite. Ce sont deux beaux compagnons de route. […] Ils doivent nous permettre de nous rassembler autour de notre projet.”
Ancien guide du XV de France et orné usine du rugby catalan, Guilhem Guirado (74 sélections) devra impartialement garder une agora importante pendant le essai porté par Guilhem Guirado. “C’est un homme de terrain, ancien capitaine du XV de France. Un homme droit. Il peut nous amener beaucoup et il devrait, s’il l’accepte, être présent sur notre liste. Guilhem incarne des valeurs dans lesquelles je me reconnais.”
La glèbe est ainsi émise. Elle conduira Didier Codorniou et son groupe jusqu’au 19 octobre 2024, jour de l’nomination. Il devrait y opposer Florian Grill, flot directeur qui ne catastrophe pas de confidentialité sur sa obstination de se ranger à sa apte fréquence.
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